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Mauvaise nouvelle pour Laurent Ruquier. Selon les informations de L’Informé, l’animateur va devoir payer une somme considérable à Catherine Barma suite à leurs litiges.
Les détails de la brouille entre Laurent Ruquier et Catherine Barma
Laurent Ruquier et Catherine Barma ont collaboré sur différents projets pendant plus de vingt ans. Ensemble, ils ont produit des émissions à succès telles que "On a tout essayé", "On n’a pas tout dit" et bien sûr "On n'est pas couché".
Cependant, derrière les caméras, la relation entre l'animateur et sa productrice était loin d'être idyllique. En mars 2020, les tensions atteignent leur paroxysme lorsque Laurent Ruquier décide de mettre fin à "On n'est pas couché". Une décision qui ne s'est pas faite sans heurts.
En avril 2021, Laurent Ruquier attaque son ancienne productrice en justice, l'accusant de ne pas avoir versé les 315 891 euros convenus pour les dernières semaines d'émission. “Catherine Barma ne m’a pas payé les dernières semaines d’émission (...) Elle ne m’a jamais reparlé depuis mars 2020”, a déclaré le présentateur.
En réponse, Catherine Barma contre-attaque en engageant une procédure pour “rupture de contrat abusive” et pour les licenciements économiques consécutifs à l'arrêt de l'émission. Depuis, leur relation s’est considérablement détériorée.
“Au bout de ces vingt ans, j’aurais aimé pouvoir lui dire merci. Son hypocrisie, sa lâcheté, sa vénalité m’en empêchent”, a regretté le célèbre animateur.
Dans la foulée, il a mis en garde les futurs collaborateurs de Catherine Barma. “Les prochains animateurs avec qui elle souhaite travailler sont prévenus : faites bien attention à vos contrats”, a-t-il averti.
La décision du tribunal
En juin 2022, le tribunal de commerce de Paris a donné raison à Catherine Barma. En effet, il a condamné Laurent Ruquier à lui verser 1,5 million d'euros.
Une décision contestée par l’animateur qui a alors fait appel. Près de trois ans après, la cour d’appel a tranché.
Comme le révèle L'Informé, le tribunal a confirmé la condamnation de l’animateur. Ainsi, il devra mettre la main à la poche pour indemniser son ancienne collaboratrice.