Ce samedi 14 décembre 2024, Miss France 2025 sera élue sur TF1 dans l’Arena Futuroscope à Chasseneuil-du-Poitou. Trente jeunes femmes tenteront leur chance, espérant succéder à Ève Gilles.
Si l’identité des trente candidates a été dévoilée, bien malin est celui qui peut deviner qui remportera la couronne.
L’IA dévoile la possible gagnante
Cela fait maintenant cinq ans que le cabinet spécialisé français Avisia fait ses pronostics sur les résultats du concours Miss France. En analysant les commentaires des internautes, en prenant en compte la démographie des régions et en s’appuyant sur les résultats des années précédentes, il élabore ses prévisions.
Deux fois sur cinq, le cabinet a vu juste en ce qui concerne la gagnante du concours.
Cette année, Avisia pense que Moïra André, Miss Guadeloupe, remportera le titre de Miss France 2025. Elle aurait 68 % de chances de victoire. C’est notamment grâce à une communauté très mobilisée sur les réseaux sociaux que l’IA a fait ce choix.
Toujours selon l’IA, Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique, sera la première dauphine avec 56 % de chances de victoire. Ensuite, nous retrouvons Miss Nord-Pas-de-Calais, Sabah Aib (55 % de chances de victoire), puis Miss Guyane, Jade Fansonna (39 % de chances de victoire).
Enfin, avec toutes deux 36 % de chances de victoire, Miss Bourgogne, Clara Diry, et Miss Picardie, Marina Przadka, se partagent la cinquième place.
La Nouvelle-Calédonie absente du concours
Cette année, la Nouvelle-Calédonie ne sera malheureusement pas représentée durant le concours. En raison du contexte politique et social sur l’archipel, aucune Miss Nouvelle-Calédonie n’a été élue.
Le Comité de Miss Nouvelle-Calédonie souhaite informer les Calédoniens qu’en raison du contexte actuel sur notre archipel, nous sommes contraints de renoncer à l’élection Miss Nouvelle-Calédonie 2024 cette année. Une décision prise à contrecœur en concertation avec Miss France Organisation, qui nous apporte son soutien et comprend que la priorité est le retour au calme et à la sérénité.
avait expliqué le Comité sur les réseaux sociaux en juin dernier.
Depuis le vote d’une réforme constitutionnelle refusant les indépendantistes, des émeutes ont éclaté en Nouvelle-Calédonie depuis le mois de mai dernier. Dans un tel contexte, l’élection d’une reine de beauté est bien évidemment passée au second plan.
La Nouvelle-Calédonie était déjà absente du concours en 1989, 1993, 1994, 1995, mais aussi en 2015.