Ce vendredi 13 novembre 2020, Aya Nakamura était attendue sur le plateau de l'émission Quotidien à l'occasion de la sortie de son troisième album. Malheureusement, les fans ont été déçus. Et pour cause : la chanteuse a finalement annulé sa venue.

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"Elle nous a plantés"

Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Yann Barthès semblait particulièrement en colère. En effet, l'animateur de Quotidien s'est exclamé :

Bon, elle nous a plantés !

Et d'ajouter :

Aya Nakamura nous a plantés. Pas il y a 24h, non ! Il y a une demi-heure ! Elle nous a pas appelés non plus pour nous le dire en même temps.

Aïe... Si Aya Nakamura ne s'est pas déplacée, il n'en est pas de même pour son équipe, qui elle était bel et bien présente sur le plateau de l'émission lors des répétitions. Danseurs, équipe technique... tout le monde était présent, sauf la chanteuse. Autant dire que la jeune femme ne devrait pas être invitée de sitôt dans l'émission !

Aya Nakamura sort du silence

Sur Twitter, elle n'a pas tardé à se justifier. Ainsi, elle a indiqué avoir prévenu de son absence à 13 h !

Un problème de danseurs ?

Mais alors, que s'est-il passé ?

Sur Twitter, le compte Aya Nakamura Charts a indiqué que la chanteuse avait préféré annuler sa venue suite à un problème de danseurs. Ainsi, elle aurait été contrainte de s'entourer de danseurs qui la critiquent ouvertement sur les réseaux sociaux. Aya Nakamura aurait alors demandé à faire appel à ses propres danseurs, ce qui lui aurait été refusé.

Une soirée embarrassante ?

Mais cette version est mise à mal pas nos confrères du Parisien. Alors que les émissions de Quotidien du vendredi sont toujours tournées la veille, le journal révèle que la chanteuse s'est rendue, ce jeudi 12 novembre 2020, à une fête qui s'est déroulée en Seine-Saint-Denis. Une soirée à laquelle une dizaine d'invités étaient présents, tous sans masque... De quoi faire encore plus jaser en période de confinement.

Là encore, la chanteuse n'a pas tardé à réagir en partageant une vidéo de ladite soirée avec pour légende "n'importe quoi"...

Une ligne de défense plutôt déconcertante et qui, là encore, divise les internautes...