Après dix ans d’absence, la Star Academy vient de faire son retour sur TF1. Le 15 octobre dernier, treize nouveaux candidats ont été présentés au public, lors d’un show qui a réuni pas moins de 4 millions de téléspectateurs devant leur petit écran. Il faut dire que le programme a marqué les années 2000 et lancé les carrières de Jenifer, Jean-Pascal Lacoste, Nolwenn Leroy, Olivia Ruiz, Sofiane Tajine, ou encore le regretté Grégory Lemarchal. Si certains d’entre eux ont finalement décidé d’abandonner la chanson, leur passage dans l’émission leur a néanmoins permis de faire une reconversion professionnelle dans les médias.
C’est donc déterminés et plus confiants que jamais que les candidats retenus pour participer à cette nouvelle promotion de la Star Ac' se sont inscrits au casting. Et l’esprit de compétition commence à faire surface. D’autant plus que Michael Goldman a remplacé Alexia Laroche-Joubert, qui a refusé de reprendre son rôle de directrice du château. Car le nouveau directeur est plutôt du genre sévère.
TF1 met la main à la poche
En effet, Michael Goldman n’est pas n’importe qui. En plus d’être le fils du légendaire Jean-Jacques Goldman, il est le fondateur de la plateforme MyMajorCompany, qui a permis à Grégoire ou Joyce Jonathan de se faire connaître. C’est donc tout naturellement que la production a accepté le montant des honoraires exigé par Michael Goldman. Et ce dernier a réussi à négocier un confortable salaire.
Alors que Yanis Marshall se vantait il y a quelques semaines de cumuler deux salaires, l’un en tant que professeur de danse et l’autre comme chorégraphe du programme, celui-ci serait cependant bien loin d’être rémunéré comme Michael Goldman. D’après les informations de Public, l’homme de 43 ans serait payé 5000 euros par semaine. Ce qui revient à 30 000 euros pour six semaines de tournage. Alors que ses collègues ont été bien moins lotis.
Une différence de traitement ?
Toujours selon l’hebdomadaire, Yanis Marshall serait juste derrière Michael Goldman, avec un cachet à 1800 euros. Adeline Toniutti, la professeure de chant, et Laure Balon, celle d’expression scénique, n’auraient perçu "que" 6000 euros. Marlène Schaff, l’une des répétitrices a été gratifiée de 4800 euros tandis que le professeur de théâtre, Pierre de Brauer, s'en sort le moins bien. Il aurait touché 3600 euros pour participer à l'émission.
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