Spécialiste des têtes couronnées, Bertrand Deckers est un visage bien connu des fidèles de Touche pas à mon poste. Le chroniqueur est régulièrement invité à la table du talk-show afin de commenter l’actualité des tête couronnées. Mais cette fois-ci, c’est pour un tout autre sujet qu’il fait parler de lui.

"Le portable contient des numéros sensibles de personnalités dont Brigitte Macron"

Bertrand Deckers a sans nul doute eu la peur de sa vie. En effet, selon les informations de Valeurs Actuelles, le chroniqueur de Cyril Hanouna a été victime d’un vol à l’arraché, dans la nuit du 11 au 12 octobre 2024. Le journaliste se trouvait à Porte de la Chapelle, à Paris, quand deux individus lui ont dérobé son téléphone portable.

Le portable contient des numéros sensibles de personnalités dont Brigitte Macron”, a rapporté le rédacteur en chef du magazine sur X (anciennement Twitter).

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Des propos confirmés par le principal intéressé. En effet, Bertrand Deckers était l’invité de CNews ce lundi 14 octobre 2024. Le chroniqueur en a dit un peu plus sur cette terrible affaire.

Je sortais du métro, il était minuit. J'étais à la Porte de la Chapelle, donc dans le 18ème arrondissement (…) Mon téléphone a sonné quand je suis sorti du métro. J’ai donc pris la conversation, et en marchant, j’ai été surpris d’entendre derrière moi quelqu’un crier. Une voix très, très, très importante me parlait. Je me suis retourné et j’ai eu face à moi deux personnes de très petite taille, de nationalité maghrébine.

Il n’aura fallu que quelques secondes pour que tout bascule. “Il faisait noir, ils se sont précipités sur moi, très, très vite, m’ont poussé (…) et je suis tombé contre une barrière (…) Une main a saisi mon téléphone pour me l’arracher. Je trouve ça assez violent…”, se souvient-il.

Selon Bertrand Deckers, ses deux agresseurs étaient âgés d’une vingtaine d’années. Un vol à l’arraché qui l’a d’autant plus surpris qu’il ne possédait pas un Iphone dernier cri. “Je suis plutôt parchemins et plumes d’oie que SMS. Mon téléphone, d’une valeur marchande, doit valoir 20 euros, 30 euros grand maximum”, poursuit le chroniqueur, qui a conscience que “la chose aurait pu mal tourner”.

“Aujourd’hui, à Paris, pour 20 euros, vos jours peuvent être mis en danger”, conclut-il.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le spécialiste des têtes couronnées est apparu particulièrement bouleversé par cette agression. L’évoquera-t-il à nouveau sur le plateau de Touche pas à mon poste ?