Après Intermezzo dédié à la musique italienne, Sarah Lancman revient à sa ville natale, Paris, et la fait rayonner en musique.
Elle déploie un art de l’enlacement soyeux
En compagnie de son fidèle Giovanni Mirabassi au piano, de Laurent Vernerey à la contrebasse et de Stéphane Muchard à la batterie, avec des visites de Marc Berthoumieux à l’accordéon et de Pierrick Pédron au saxophone, elle déploie un art de l’enlacement soyeux mais vertigineux. Sarah Lancman a composé l’essentiel de l’album, et adapte aussi Aznavour et Piaf (“L’hymne à l’amour”), dans un registre très inspiré.
Une recette mariant simplicité (piano, voix, basse, saxophone, batterie) et complexité, tout en imprimant sa marque de fabrique, élégance, travail ciselé, mélodie et construction délicate soutenue par des arrangements et des harmonies fluides.