Asra Tombo 
Les vacances d’été ayant touché à leur fin, tous les parents ont envoyé leurs enfants à l’école pour la rentrée. Mais tel n’est malheureusement pas le cas pour Ayvin, à cause de son père Vincent Miclet, selon Ayem Nour.
Une violente bataille juridique entre Ayem Nour et Vincent Miclet
Leur histoire d’amour a été officialisée en mai 2015 sur le tapis rouge du Festival de Cannes. Cette belle idylle a donné naissance à leur enfant Ayvin. Mais elle prend fin en novembre 2016, quelques mois après cela. C’est à travers une interview donnée par le père au magazine Public qu’il l'officialise.
C’est donc à 4 ans de vie de couple que les célébrités mettent un terme. Même si la rupture semblait “amiable” et qu’elle aurait été décidée d'un commun accord, la situation change de teneur lorsque la garde de leur enfant devient le cœur du débat.
Depuis qu’elle a décidé de rompre avec lui et qu’elle a obtenu la garde de leur petit garçon, les conflits n’ont jamais cessé entre eux, dit-elle dans un appel téléphonique avec Le Parisien.
Depuis, l'ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste, de nature très discrète sur sa vie privée, est sous le feu des projecteurs.
Leur conflit parental, exposé en partie par l’ancien couple à travers des posts pleins d’émotions, témoigne de leur détresse respective.
Une violente bataille sur tous les fronts, tant médiatique que juridique et qui attire tous les regards.
À l’origine de leur séparation, chacun avait évoqué ses propres raisons.
Notre ancienne candidate de Secret Story avait dévoilé un ex-compagnon qui ne comprenait pas son envie de garder son indépendance financière. Ce dernier voulait qu’elle soit en permanence à ses côtés et la poussait à démissionner. L’entrepreneur, de son côté, avait expliqué qu’ils n’avaient plus de vie privée à cause de l’entourage et de la famille de Ayem Nour, trop présents, selon lui. Une situation qui s’est détériorée et qui les a poussés à bout.
La garde accordée à Ayem Nour : le mécontentement du père
Après leur séparation, le richissime businessman tenta d’obtenir la garde exclusive d’Ayvin mais la décision du tribunal fut en sa défaveur.
Les autorités françaises ont estimé qu’une garde partagée serait le mieux et lui ont accordé un droit de visite un week-end sur deux et pendant les vacances. Chose qu’il a toujours contestée, selon les dires de la jeune maman.
Cette dernière redoutait également la clause de revoyure. Elle stipule que l’enfant devra, à partir de ses 6 ans, passer 1 mois au lieu de 15 jours maximum chez son père pendant les vacances d’été, comme prévus jusque-là.
Finalement, les deux sont arrivés à un accord. Elle a accepté que son fils Ayvin vive à Marrakech avec son père et y soit scolarisé pour une période d’essai de 1 an.
Un véritable cauchemar pour la scolarité d’Ayvin
Elle déchante très vite lorsqu’elle finit par comprendre qu’il l’a fait venir pour en obtenir la garde exclusive “sur son terrain au Maroc”, son lieu de résidence, accuse-t-elle.
Après avoir compris cela et considérant “l’accord caduc”, elle tente alors de revenir dans le Sud de la France avec Ayvin. Elle le récupère à sa sortie de l’école américaine mais sans passeport, resté avec le père, il n’a pas pu quitter le territoire.
Elle se tourne alors vers le consulat et l’ambassade de France qui refusent de délivrer un nouveau passeport puisque son ex les avait déjà appelés et a exercé sa part d’autorité parentale.
Un premier scandale dans le cadre de leur bataille vient frapper la jeune femme accusée d’enlèvement et de détournement d’un mineur de moins de 18 ans par Vincent Miclet. Elle est désormais placée sous contrôle judiciaire et a interdiction de sortir du territoire marocain.
La procédure est encore en cours. Elle attend toujours son issue.
Une scolarité sans dessus dessous
Déscolarisé en pleine année scolaire à cause du conflit entre ses parents, et ayant dû suivre des cours à domicile, la même histoire semble se répéter. L’ancienne meilleure amie de Nabilla Benattia, toute contente de pouvoir enfin faire scolariser son fils, s’en est vu refuser le droit.
Elle déplore le refus de signature du papa pour l’inscription scolaire de leur fils qui en est la cause.
Sans cela, impossible pour lui d’avoir une vie scolaire normale. Ayant bien préparé la rentrée d’Ayvin à son école au Maroc, il n’a hélas pas pu la passer.
Malgré tout, elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour que tout revienne en ordre. Elle espère que les choses vont pouvoir se décanter. Elle souhaite “une belle rentrée” à tous et en partagera plus quand elle le pourra, à travers son compte Instagram.