C’était dans les années 1990 que Benjamin Castaldi faisait ses débuts à la télévision. À l’époque, Michel Drucker, qui voyait déjà tout son potentiel, lui donnait sa chance. Dès lors, le fils de Jean-Pierre avait pris son envol. En effet, l’animateur avait connu une ascension fulgurante. Loft Story, Nouvelle Star, Secret Story… il était aux commandes de plusieurs émissions cultes en France. En ce sens, l’argent coulait à flots.

Malgré tout, l’ancien compagnon de Flavie Flament a accumulé les soucis financiers au fil des années. Le 22 décembre dernier, l’intéressé a évoqué ses galères d’argent auprès de nos confrères du magazine Public. Le père de famille de 53 ans ne s’est cependant pas étalé sur le sujet. D’ailleurs, il a profité de cette interview pour révéler son plus grand regret de sa carrière télévisuelle.

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Benjamin Castaldi @ ABACA

"J'étais fier de ma réussite"

Pour rappel, Benjamin Castaldi a rejoint l’équipe de Touche Pas à Mon Poste en 2016. Le chroniqueur a très vite trouvé sa place et a conquis le cœur du public à tel point qu’il est devenu l’un des piliers de l’émission. À l’instar de ses collègues, il s’est régulièrement prêté au jeu des révélations concernant sa vie privée sur le plateau du talk-show de C8.

Mis à part ses trois divorces qui lui ont coûté une fortune, l’ancien animateur de Secret Story a aussi fait des confidences sur ses problèmes financiers. Lors de cette récente interview, le quinquagénaire a évidemment été interrogé sur ce point. Ce à quoi l’intéressé a répondu :

Ça va finir par s'arranger, mais je n'ai plus trop envie d'en parler (…) J'ai eu le tort de dire combien je gagnais par mois. J'étais fier de ma réussite, mais en fait, c'était une grosse bêtise. Si je devais changer quelque chose dans mon parcours, ce serait ça !

Benjamin Castaldi fait une grosse mise au point

Dans cet entretien, l’ancien chroniqueur de TPMP a également tenu à faire taire les rumeurs sur sa personne. Selon ses propos, l’ex-animateur est considéré comme un "flambeur". Pourtant, il n’en est rien. Le principal concerné a remis les pendules à l’heure.

On a dit que j'étais mégalo, je ne le suis pas. Je n'ai jamais non plus été un joueur invétéré. On m'a pris pour un flambeur, mais c'est faux, et je n'ai jamais été frimeur.

Voilà qui devrait faire taire les mauvaises langues.