Emily Ratajkowski est très heureuse. La jeune femme de 29 ans attend son tout premier enfant, fruit de son amour avec Sebastian Bear-McClard.
L’ancien mannequin fait alors donc parler d’elle et un ancien article sur la jeune femme a refait surface. Il s’agit d’un datant de 2018 et paru dans le magazine Marie Claire. Il avait alors pour titre : « Emily Ratajkowski : Peut-on être féministe et n’exister que par son corps ? »
Emily Ratajkowski en colère
Plusieurs fans de la jeune femme n’ont pas manqué de lui traduire ce qui avait été dit dans cet article. Le moins que l’on puisse dire est qu’elle n’a pas du tout apprécié la lecture de ces lignes, déclarant alors :
J’espère vraiment que ça sera la dernière fois que je lis un article du style « elle a des seins ET affirme lire ». Il y a beaucoup de niveaux de choses dégoutantes et embarrassantes dans cet article mais la tentative de critique du féminisme à la fin est sans doute la pire des parties.
Ce n’est pas tout, elle a également pris la parole sur un passage spécifique du papier dans lequel était écrit :
Je dois ici ajouter qu’alors qu’elle articule une pensée tout à fait intelligente, elle porte un décolleté extra ordinairement profond sans soutien-gorge, tout en semblant savoir, au fond, que sa tenue est à la fois absurde et déroutante, voire carrément contradictoire avec son discours.
Bien évidemment, Emily n’a pas du tout aimé ce qui a été dit sur elle. Le mot « déroutante » traduit par le terme « confusing » en anglais, semble avoir choqué la jeune femme qui n’a pas manqué de le faire remarquer.
Un article choc
Dans l’article datant de 2018, la journaliste affirme avoir envoyé son compagnon interviewer la jeune femme, ne pouvant alors pas prendre l’avion en raison de sa grossesse. Les lignes citées plus haut sont celles du jeune homme en question.
Celles qui suivent sont celles de la journaliste qui n’y est pas allée de main morte en évoquant Emily Ratajkowski :
« Elle est vraiment sympa », m’écrit-il depuis le Sud de la France. Et c’est vrai qu’elle a l’air sympa, pas peste, même pas prétentieuse. Dans "Les Apparences", Gillian Flynn introduisait le concept de « la fille cool » : « La fille cool est drôle. La fille cool est joueuse. La fille cool est sexy. La fille cool ne se met jamais en colère contre son homme. Elle se contente de sourire avec un air chagriné et aimant puis présente sa bouche pour une pipe. Vas y, éjacule-moi dessus, je m’en fous, je suis une fille cool. » La fille cool s’est coulée dans le moule des désirs masculins en prétendant le faire de bon cœur. Ironiquement, c’est dans l’adaptation du livre au cinéma (Gone girl de David Fincher) que « EmRata » a tenu son premier rôle. Elle pourrait être en effet l’incarnation ultime de la fille cool dans sa version la plus aboutie et peut-être la plus perverse.
Qu’en pensez-vous ?