Afin de lutter contre la propagation du coronavirus, le mot d'ordre est confinement. Mais force est de constater que certains ne l'entendent pas de cette oreille. C'est le cas notamment de Jean-Luc Lahaye. En effet, c'est lors d'un live sur Facebook organisé par le magazine Welcome, dont Mario Barravecchia est le patron, que le chanteur a fait quelques confidences... qui ne devraient pas faire l'unanimité.
Ainsi, l'artiste, qui habite à Paris, a expliqué :
J’ai horreur de ce mot, “confiné”. C’est vraiment un truc pour les boîtes de conserve... Moi, je vis ma vie normalement. Le confinement, je considère que c’est une immense supercherie.
Et de poursuivre :
Je vis ma vie, je sors en bécane… Je mets un masque, parce que je joue le jeu du masque. Mais point barre. Sinon ça ne m’empêche pas de sortir, de voir mes potes et de voir mes enfants.
Vous l'aurez compris, Jean-Luc Lahaye n'a rien changé de ses habitudes, ou presque. En effet, le chanteur ne peut plus faire actuellement de parachutisme, ni de chute libre, son club étant désormais fermé. Une fermeture qui n'est pas sans l'agacer :
Avec ce confinement, j’ai l’impression de perdre un temps précieux. Je n’ai plus 20 ans. J’ai l’impression qu’on enlève des mois à ma vie, là.
"M’obliger à rester enfermé chez moi, c’est impossible"
Le confinement ? Très peu donc pour Jean-Luc Lahaye qui continue :
Moi qui suis quelqu’un épris de liberté, je considère que ce mot engage un contrôle permanent de nos déplacements. C’est un mot générique qui me déplaît. Etre confiné, en deux mots, c’est encore pire : con fini, même ! On a l’air de cons finis ! Ce mot, je l’exècre.
Des propos qui devraient en agacer plus d'un. Le chanteur en a d'ailleurs bien conscience. Mais cela ne l'empêchera pas de camper sur ses positions :
Moi, j’ai toujours fait du hors-piste dans ma vie et m’obliger à rester enfermé chez moi, c’est impossible. Il vaut mieux me mettre en prison.