L'affaire avait fait grand bruit lors du procès opposant Johnny Depp à Amber Heard à Londres. Hilda Vargas, la gouvernante de Johnny Depp, révélait avoir trouvé des excréments sur le lit du couple. Des excréments qui auraient été laissés par l'actrice. Cette dernière s'était alors défendue en expliquant que ses chiens avaient déféqué sur leur lit.
Cependant, Hilda Vargas confiait à la barre :
Il était clair pour moi que c’était des excréments humains. Je savais que les excréments ne pouvaient provenir des deux petits chiens de M. Depp et de Mme Heard. J’ai nettoyé après ces chiens de nombreuses fois et leurs excréments sont beaucoup plus petits. De plus, je n’ai jamais vu ces chiens déféquer dans le lit.
"De mon côté du lit, il y avait des matières fécales humaines"
Alors qu'un nouveau procès pour diffamation vient de s'ouvrir cette fois-ci aux Etats-Unis, Johnny Depp a été entendu par la justice. Le comédien a ainsi livré sa version des faits. Ainsi, il est revenu sur cet épisode qui a mis fin à son mariage.
L'affaire remonte au mois d'avril 2016. Johnny Depp se souvient qu'il venait d'avoir une grosse dispute avec celle qui était encore sa femme. Alors que cette dernière se trouvait à Coachella, le comédien a souhaité se rendre dans son appartement afin de prendre ses affaires. Mais son garde du corps, Sean Bett, lui a vite déconseillé de s'y rendre. Johnny Depp n'a pas tardé à comprendre pourquoi.
En effet, le comédien a expliqué à la barre :
Puis il m'a montré une photo sur son téléphone de... c'était une photo de notre lit, et de mon côté du lit, il y avait des matières fécales humaines.
Et d'ajouter :
J'ai compris pourquoi ce n'était pas le bon moment pour y aller. Ma première réponse à cela a été, je veux dire... j'ai ri (...) C'était si bizarre et si grotesque que je ne pouvais que rire. Donc je n'y suis pas allé ce jour-là.
Johnny Depp dément la version d'Amber Heard
Vous l'aurez compris, Johnny Depp ne croit pas une seule seconde à la version donnée par son ex. "La photo que j'ai vue — j'ai vécu avec ces chiens pendant de nombreuses années. Ce n'était pas les chiens... Je n'avais pas l'impression de mériter ce genre de traitement", conclut-il.