Kaaris vit une période compliquée depuis qu'il s'est séparé de son ancienne compagne, une dénommée Linda P. Selon ses dires, celle-ci aurait assumé leur foyer en cumulant deux jobs lorsque que le rappeur tentait de percer dans la musique. Mais après quinze ans de vie commune et la naissance d'une petite fille, Kaaris l'a quitté sans crier gare et est devenu père d'un petit garçon avec une autre femme.
Si elle a pardonné ses nombreuses infidélités au père de sa fille, Linda n'a bien évidemment pas digéré le fait de le surprendre en compagnie de sa nouvelle conquête. Et les choses ont rapidement dégénéré lorsqu'elle lui a demandé des explications. Elle a ainsi dévoilé sur Instagram des audios de leur violente confrontation, durant laquelle Kaaris aurait levé la main sur elle. Il lui aurait "assené des coups de pieds et coups de poings tout en lui arrachant les ongles après une dispute dans le garage de sa maison".
La guerre des ex
Booba, qui est en guerre avec Kaaris depuis plusieurs années et a désormais Magali Berdah dans son collimateur, s'est fait un plaisir de relayer les stories de Linda. L'autoproclamé duc de Boulogne l'a même invitée à l'un de ses concerts, une généreuse invitation intéressée qu'elle a préféré déclinée.
Alors que Linda a porté plainte contre Kaaris pour violences conjugales, celui-ci a aussitôt répliqué saisissant lui aussi la justice. Selon les déclarations de l'avocat du rappeur de Sevran à l'AFP, Kaaris vient de déposer plainte contre la mère de sa fille pour dénonciation calomnieuse.
D'après Kaaris, son ex "a orchestré de toutes pièces les faits de violences qu'elle a par la suite dénoncés à l'autorité judiciaire" pour "exercer une forme de pression médiatique, juridique et financière".
Une femme vénale ?
Toujours selon l'homme de loi, Linda P. "essaie de détruire l'image de Kaaris en public et, dans l'ombre, elle œuvre, avec d'autres, pour tenter de l'extorquer".
Prétendant être en possession de clichés de Linda pris quelques jours après la prétendue agression où on peut la voir sans aucune trace de coups, qu'elle a pourtant fait constater par un médecin après les faits qui se seraient déroulés en 2021, l'avocat a ajouté :
Les preuves transmises sont accablantes et elle devra s'expliquer auprès du parquet, plutôt que de fabuler sur les réseaux sociaux.
Comme précisé à l'AFP, le parquet d'Evry a précisé ne pas avoir encore "qualifié les faits", indiquant que l'enquête se devait de "vérifier les éléments qui existent et d'y donner suite ou pas".
Affaire à suivre...