Souvenez-vous de Linda Evangelista. Dans les années 90, la Canadienne faisait partie de la catégorie des Supermodels, à l'instar de Claudia Schiffer, Christy Turlington, Cindy Crawford ou encore Naomi Campbell, qui vient de devenir maman.
Découverte à l'âge de 16 ans en 1981 par l'agence Elite, elle quitte le Canada pour tenter sa chance en tant que mannequin aux États-Unis. Une expérience qui n'a pas été concluante mais qui ne la décourage pas. Trois ans plus tard, elle se rend à Paris, où elle rencontre la reconnaissance qu'elle attendait tant.
Un mannequin grandement sollicité
À partir de la fin des années 80, Linda Evangelista a connu une ascension fulgurante. Elle fait la connaissance de Gérald Marie, alors dirigeant de l'agence de mannequins Paris Planning et futur PDG d'Elite Europe. Ce qui lui permet de taper dans l'œil de Karl Lagerfeld, qui en fait son égérie pour représenter la maison Chanel.
Linda Evangelista a fait la Une de nombreux magazines au milieu des années 80 et a pris la pose pour de plusieurs campagnes publicitaires. Elle a ainsi représenté les marques Calvin Klein, Hermès, Ralph Lauren ou encore Yves Saint Laurent.
En 1998, la star met un terme à sa carrière. Elle a cependant repris du service quelques années plus tard et a défilé une dernière fois en 2007, pour Dior.
Linda Evangelista défigurée
Malheureusement pour la jolie brune de 54 ans, sa retraite est loin de se dérouler comme elle l'espérait. Sur son compte Instagram, la maman de Augustin James, fruit de ses amours avec le richissime homme d'affaires François-Henri Pinault, Linda Evangelista a révélé qu'elle était à présent "déformée irrémédiablement".
Après avoir subi une intervention nommée CoolSculpting, le top model d'origine italienne a été victime d'effets secondaires irréversibles qui ont été désastreux sur son visage. Le CoolSculping est une nouvelle technique de rajeunissement du visage censée "diminuer" les cellules graisseuses. Hélas, l'intervention aurait eu l'effet inverse et Linda Evangelista a désormais bien du mal à se reconnaitre face au miroir.
Linda Evangelista a révélé qu'elle vivait désormais recluse chez elle, refusant d'afficher son visage meurtri par le bistouri :
J'ai développé une hyperplasie adipeuse paradoxale ou HTAP, un risque dont je n'avais pas été informée avant de subir l'intervention… L'HTAP n'a pas seulement détruit mes moyens de subsistance, elle m'a plongée dans un cycle de profonde dépression, de profonde tristesse et d'un rare dégoût de soi.
Elle envisage de porter plainte contre le chirurgien qui a raté son intervention et lui a gâché la vie :
Je suis tellement fatiguée de vivre de cette façon. Je voudrais sortir de chez moi la tête haute, même si je ne me ressemble plus.
A-t-elle confié avec affliction.