En devenant une personnalité publique, Magali Berdah savait sans doute qu’elle s’exposait aux critiques, mais elle ne devait sûrement pas s’attendre à autant de haine. Très décriée, Magali Berdah est une personnalité qui divise sur la Toile. Mais alors qu’elle doit déjà gérer les critiques et menaces de certains internautes à son égard, la voilà aujourd’hui à devoir répondre aux attaques du rappeur Booba.
Ce dernier est bien connu pour tacler sur les réseaux sociaux. Celui qui a déjà vu son compte Instagram supprimé, passe par d’autres comptes pour tacler à tout va. C’est Magali Berdah qui en a récemment fait les frais.
Magali Berdah réplique
C’est via sa story Instagram que Magali Berdah a finalement décidé de répondre au rappeur qui s’amusait à balancer d’anciennes photos d’elle, mais également d’interpeller Cyril Hanouna à son sujet, pointant du doigt diverses polémiques auxquelles elle a dû faire face.
Je vous présente mon nouvel harceleur ! Booba, un ancien chanteur qui, malheureusement, n’a plus de carrière et qui pour exister s’en prend à des femmes à longueur de journée.
a-t-elle déclaré.
Il s’en prend à mon physique et à mon rôle de mère, ainsi qu’à ma fille. Autant vous dire qu’on est dans le comble de la misogynie et du harcèlement. Ça fait des jours qu’il m’affiche avec mon moi d’avant sur Twitter, Insta. Ce moi qui me procurait du mal être et je ne m’en suis jamais cachée. J’ai toujours assumé mes chirurgies.
Elle a ensuite clashé le rappeur en déclarant notamment :
Je me demande ce qui a dû t’arriver dans ta vie pour en arriver à passer tes journées à humilier les autres, et particulièrement les femmes. Sur cette photo j’avoue ne pas être à mon avantage mais je préfère ma gueule que ton cerveau de petit homme si frustré.
Elle dénonce ses harceleurs
Bien décidée à aller au bout de sa démarche, celle qui rêve de voir la création d’un Ministère des réseaux sociaux, en a profité pour balancer les commentaires haineux et les menaces qu’elle reçoit sur la Toile, et ce depuis cinq ans maintenant.
Vous voulez savoir combien de messages j’ai envoyé à Instagram, à Twitter en suppliant qu’on me rappelle, en disant « s’il vous plaît je vais me foutre en l’air aidez-moi » ? Vous voulez savoir combien de procédures j’ai fait depuis cinq ans ? Combien ça me coûte en service de sécurité tous les mois. Vous voulez savoir ce que c’est de dormir avec la peur au ventre ?
Qu’en pensez-vous ?