La vie de Magali Berdah est loin d'être toujours simple. À la tête de la société Shauna Events, la businesswoman est aussi au centre de toutes les critiques. Ce lundi 21 juin, la femme la plus puissante de la télé-réalité était sur le plateau de 6 à 7 (C8) avec Bernard Montiel et Ludivine Rétory. Alors que l'animateur a évoqué le harcèlement dont il a été victime sur les réseaux sociaux il y a quelques années, l'agente artistique s'est elle aussi confiée sur ces moments compliqués auxquels elle doit régulièrement faire face.
Des attaques antisémites contre Magali Berdah
Régulièrement, Magali Berdah est victime de menaces sur les réseaux sociaux. Attaquée sur son physique, ses nombreuses opérations de chirurgie esthétique ou son luxueux train de vie, elle l'est également sur des sujets beaucoup plus graves. Si elle avoue subir une véritable "haine" parce qu'elle représente un milieu qui n'est "politiquement pas correct", la chroniqueuse reconnaît avoir été victime d'inacceptables dérives :
Je suis de religion juive. J'ai eu des menaces antisémites qui ont été très graves.
Explique-t-elle avant de confier qu'elle a déjà saisi la justice à plusieurs reprises.
Très blessée, la jeune femme a également dû faire face à la détresse de ses enfants, menacés à leur tour sur la toile.
Ses filles en danger ?
Maman de Shauna, Victoria et Shelly, Magali Berdah tient plus que tout au bien-être de ses filles. Hélas, ces dernières ont déjà fait l'objet de menaces de mort sur les réseaux sociaux. Pire, un maître-chanteur a même tenté de lui soutirer de l'argent. Lassée de devoir se battre sans cesse, l'agente a décidé de poursuivre les haters en justice :
On s'est attaqué à mes enfants. Il y a eu une tentative d'extorsion de fonds. Il y en a un qui a fait une garde à vue pendant 48 heures.
A-t-elle précisé.
Épuisée par ces événements aussi douloureux que récurrents, la femmes d'affaires se dit "armée psychologiquement" mais reconnaît que le cyberharcèlement est "un drame dans une vie". Ces attaques pourraient fragiliser ses filles qui n'ont pas encore la force nécessaire pour faire face à la violence qui règne aujourd'hui sur les réseaux sociaux.