L’affaire fait grand bruit. Mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires sous l'emprise de stupéfiants, Pierre Palmade se serait rendu en discothèque dans la nuit du 24 au 25 juin 2023.
En effet, le compte Twitter @samvatkt et la blogueuse @ShayaraTV ont relayé sur la Toile des vidéos qui auraient été prises au cours de cette soirée. Pourtant, contactée par nos confrères de Ciné-Télé-Revue, “la boîte de nuit en question a précisé que Pierre Palmade ne s’était pas rendu dans l’établissement ce week-end, et que les images dataient bien d’avant le terrible accident”.
Depuis ce démenti, de nouvelles vidéos ont été dévoilées sur la Toile. Et selon les informations de nos confrères du Parisien, "l’humoriste était bien présent dans la boîte de nuit cette nuit-là”.
“C'est le fait d'être là qui était le plus dérangeant”
Alors que l’affaire fait couler beaucoup d’encre, certains témoins présents dans la boîte de nuit sont sortis de leur silence. “Les gens étaient assez étonnés de le voir, mais il n’y a pas eu d’incident. Plusieurs personnes ont parlé avec lui. Il avait l’air à l’aise dans le carré VIP. Il dansait de temps en temps”, a indiqué un jeune homme, qui aurait filmé la scène, à nos confrères du Parisien.
Une autre cliente s’est quant à elle confiée devant les caméras de BFM TV :
Il ne cherchait pas à se cacher, mais il ne cherchait pas à se montrer non plus. Enfin, je ne pense pas. Soit il était assis, soit il bougeait un peu dans les carrés, il allait voir des personnes… Enfin, c'est le fait d'être là qui était le plus dérangeant qu'autre chose, et qui a dérangé pas mal de monde dans la boîte.
Un troisième témoin a quant à lui indiqué à BFM TV que l’humoriste a été "placé directement dans le carré VIP" dont l'entrée avait été bloquée par "trois gardes du corps".
Un contrôle judiciaire allégé
Alors que cette prétendue sortie scandalise la Toile, le parquet de Melun rapportait à l’AFP que le contrôle judiciaire de l’humoriste avait été allégé au début du mois de juin.
Il n’a plus d’obligation d’hospitalisation 24h sur 24.
En revanche, il doit poursuivre ses soins, ne peut pas conduire ou encore quitter la région Nouvelle-Aquitaine.