Stéphane Plaza est sans nul doute un homme aux multiples talents. Outre son métier d’animateur, il est aussi un agent immobilier chevronné. Certains l’ignorent peut-être, mais la star de M6 multiplie les livres dérivés de ses émissions. Le Gaston Lagaffe du PAF a même sorti des bandes dessinées dont il est le héros. Dans un tout autre registre, il tient le rôle de sociétaire dans Les Grosses Têtes sur RTL.
Autant dire que l’homme de 52 ans n’a pas le temps de chômer. Côté professionnel, tout va pour le mieux. Oui, mais voilà, qu’en est-il de sa vie privée ? Il faut bien l’avouer, le quinquagénaire entretient le mystère à ce sujet. Ce que l’on sait, c’est qu’il fait partie de ces célébrités qui ont choisi de ne pas avoir d’enfants. Face à Patrick Sabatier, il en a dévoilé les raisons.
"Le monde me fait peur"
Au même titre que sa belle carrière, la vie privée de Stéphane Plaza a toujours déchaîné les passions. Au micro de nos confrères du Journal du dimanche, il a notamment levé le voile sur son orientation sexuelle. Cependant, rien ne nous indique s’il est célibataire ou en couple. Par ailleurs, il assume parfaitement son choix de ne pas avoir d’enfants. Dans l’émission L’invité en questions, il a évoqué les risques auxquels le monde est confronté.
Le monde me fait peur. C'est un choix qui peut changer, objectivement. Après, il y a des choix de vie. Avoir un enfant, c'est bien mais faut-il être là pour son enfant. Faut-il avoir du temps. Si c'est pour le confier à une personne, Ce n'est quand même pas la même chose.
Un enfant est certainement le plus beau des cadeaux. Malgré tout, Stéphane Plaza a évoqué les inquiétudes constantes des parents. Au micro de Déborah Grunwald sur France Bleu en 2021, il s’est déjà livré sans filtre sur son refus d’être père.
Stéphane Plaza évoque le divorce de ses parents
Le divorce de ses parents est une autre raison qui explique son choix. Le grand ami de Karine Le Marchand se pose néanmoins certaines questions, notamment au sujet de son patrimoine personnel. À titre d’information, la succession revient à l’État si le défunt n’a aucun héritier.
Avoir des parents divorcés, c'est un choix qui m'a martelé et qui a brisé quelque chose en moi (…) Faut avoir du temps, faut pouvoir aimer, faut trouver la bonne personne. Évidemment, si vous me demandez aujourd'hui à 53 ans : qu'est-ce que je vais faire et à qui je vais léguer ça ? Je peux me poser des questions sur la suite. Pour l'instant, je n'ai pas de regrets sur ce que j'ai fait.