Après trois bandes annonces toutes plus sensuelles les unes que les autres, la série The Idol a affolé la Toile. Avec un synopsis captivant et une Lily-Rose Depp plus sulfureuse que jamais, cette fiction a tout pour plaire. Seulement voilà, HBO tarde à révéler la date de sortie. De quoi attirer l’attention de la revue américaine Rolling Stone. Le magazine US a alors dépeint un piètre tableau du show. De quoi agacer The Weeknd.

L’interprète de Blinding Lights joue, co-écrit et produit en effet la série signée HBO. Quoi qu’il en soit, les rumeurs du tournage "toxique" et "chaotique" vont bon train. Un article du média américain en est à l’origine. The Idol pourrait ainsi recevoir un accueil mitigé du public.

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Lily-Rose Depp et The Weeknd @ HBO

Le magazine Rolling Stone dézingue la série The Idol

Côté synopsis, l’histoire suit une étoile montante de la pop, jouée par Lily-Rose Depp, qui entame une romance avec un patron d’un club de Los Angeles. Incarné par The Weeknd, Abel Tesfaye de son vrai nom, ce personnage principal est aussi le gourou d’un mouvement sectaire.

Sans surprise, la réalisation a été confiée à Sam Levinson à qui l’on doit la série ultra-sexy Euphoria. L’article de la revue américaine dénonce, entre autres, l’apologie de la "torture pornographique" dans The Idol. Par ailleurs, l’enquête revient aussi sur le départ de la réalisatrice Amy Seimetz en avril 2022.

Apparemment, elle aurait quitté le projet à cause des divergences d’opinions au niveau des scripts. Dans la foulée, Sam Levinson aurait décidé de réécrire les scénarios. Il n’aurait ainsi pas respecté le plafond budgétaire.

The Weeknd riposte

À l’instar de HBO, le magazine Variety a démenti l’enquête du média américain. Sam Levinson n’aurait ainsi pas explosé le budget. De son côté, la fille de Johnny Depp et Vanessa Paradis n’aurait pas tari d’éloges pour le réalisateur.

(…) le meilleur réalisateur avec lequel elle aurait tourné.

Quant à The Weeknd, celui qui va donner la réplique à une star de la série Mercredi a réagi avec humour à l’article de la revue américaine.

Rolling Stone, on vous a vexés ?