De Vianney, on connaît bien les textes et les apparitions toujours policées et presque timides dans les médias. Mais il est un domaine que le chanteur déteste évoquer, celui de sa vie privée.
Malheureusement, la vie de célébrité publique comprend ses inconvénients et celui de voir son existence étalée en fait partie. Vianney vient d’ailleurs d’en faire les frais. Gala a décidé de faire du chanteur sa Une pour le numéro du 8 avril. Il y pose avec sa compagne depuis 2016, la violoncelliste Catherine Robert. En titre, est inscrit Vianney, sa femme, son refuge.
Vianney très remonté contre le magazine
Et manifestement, cette Une déplaît fortement au principal intéressé. Sur Twitter le 13 avril, il a fermement fait savoir ce qu’il en pensait :
Mon équipe & moi ne sommes EN RIEN responsables de la couverture absolument impudique de Gala. Nous n’avons même pas été prévenus en amont. Ça me désole, car je n’aime pas que ma vie privée soit étalée ainsi. Les gens qui me connaissent vraiment le comprennent et le respectent.
Si le chanteur avait déjà reconnu être en couple, voir celui-ci exposé en première page d’un magazine à grand tirage ne pouvait que déplaire à ce grand discret. Surtout quand l’article qui l’accompagne déballe tout le quotidien du couple et son histoire, parlant même de la fille de Catherine Robert. Vianney aime l'enfant comme sa propre fille et lui a dédié une chanson mais dont il ne parle jamais pour préserver l’anonymat qui doit aller de pair avec l’enfance.
La vie privée du chanteur, un espace sacré
Gala évoque également le fait que le couple se serait marié à l’été 2020, un coup de plus dans l’intimité des amoureux.
Ce n’est pas la première fois cependant qu’un média tente d’exploiter la vie privée du chanteur. Mais à chaque fois, Vianney esquive les questions. Ainsi, invité le 11 avril sur le plateau de Vivement Dimanche, il a été interrogé par Michel Drucker sur "la femme de (sa) vie". Très réticent, Vianney a tenté de ne pas répondre aux questions de l’animateur avant de craquer sous la pression et de confirmer qu’il s’agissait de Catherine Robert puis de passer à autre chose.