En 1981, quand elle épouse le prince Charles, Lady Diana ne se doutait pas encore qu'ils seraient trois dans ce mariage. Et pourtant, elle ne tardera pas à découvrir qu'une autre femme est dans le coeur de son mari : Camilla Parker Bowles.
Une terrible découverte
Alors que M6 diffusera, ce mardi 23 août 2022, un documentaire inédit consacré à la princesse de Galles, nos confrères de Purepeople reviennent sur un événement qui a marqué à tout jamais Lady Diana. L'affaire remonte à 1991. Alors qu'elle se trouve en vacances à Balmoral, domaine écossais appartenant à la famille royale, la maman du prince William et du prince Harry découvre les lettres que Camilla Parker Bowles a envoyées au prince Charles au fil des années.
Que contiennent ces lettres ? La preuve que les deux amants entretiennent une liaison. Comme le rapporte Andrew Morton dans son livre Diana : à la poursuite de l'amour, la princesse de Galles y découvre que les deux amants s'offraient des "nuits magiques" lorsqu'ils se trouvaient chez des amis en commun.
Mais ce n'est pas tout... Lady Diana découvre également les termes peu élogieux utilisés par Camilla Parker Bowles afin de la décrire. Cette dernière n'hésitait pas à la qualifier de "créature stupide". Elle n'est guère plus sympathique quand il s'agit d'évoquer celui qui était encore son mari à l'époque, à savoir Andrew Parker Bowles. Ainsi, elle le qualifiait de "belette empaillée"...
Des révélations qui mettent fin au mariage de Lady Diana
La suite, nous la connaissons tous. En 1992, le prince Charles et Lady Diana se séparent. La princesse de Galles révélera cette liaison au grand jour dans une interview choc accordée à la BBC. Une interview qui aujourd'hui encore fait couler beaucoup d'encre. Et pour cause, le journaliste Martin Bashir, qui était chargé de cette interview, a été accusé d'avoir manipulé Lady Diana.
En 1996, le prince Charles et Lady Diana divorçaient. L'année d'après, la princesse de Galles perdait la vie dans un terrible accident de voiture. Un terrible drame qui a marqué à jamais les Britanniques...