Hawa C. 
Le 20 janvier dernier, Donald Trump a prêté serment et a entamé son second mandat en tant que chef d’État. Dès sa prise de fonction, celui qui a battu Kamala Harris aux dernières élections présidentielles américaines n’a pas tardé à mettre en place les mesures qu’il juge nécessaires pour rendre sa grandeur à l’Amérique. Comme avoir décrété le retrait de son pays des accords de Paris et de l’Organisation mondiale de la santé ou bien accélérer les expulsions pour lutter contre l’immigration illégale. Et ce, peu importe le statut des individus qui n’ont pas la citoyenneté américaine.
Aussi, l’avenir du prince Harry sur le sol américain serait-il compromis ? En janvier 2020, un an et demi après leur mariage à La Chapelle St-George de Windsor, au Royaume-Uni, le prince Harry et Meghan Markle ont pris de court la famille royale en annonçant qu’ils renonçaient à leurs fonctions et partaient s’installer à l’étranger. Après quelques mois passés au Canada, le couple rebelle a mis le cap sur la Californie, la région natale de Meghan Markle.
Les Sussex de retour en Angleterre ?
Ils sont depuis propriétaires d’une somptueuse résidence, située dans le très chic quartier de Montecito. Mais selon certaines rumeurs, les parents d’Archie et Lilibet pourraient bien être forcés de quitter le manoir qu’ils ont acquis pour la coquette somme de 14 millions d’euros. Car depuis son emménagement avec femme et enfants, le visa du duc de Sussex fait régulièrement polémique. En effet, dans ses mémoires publiées en 2023, baptisées Le Suppléant, le frère du prince William a révélé avoir déjà consommé de la cocaïne, de la marijuana ainsi que des champignons psychédéliques durant sa jeunesse.
Seulement, pour obtenir son visa aux États-Unis, le prince Harry aurait dû mentir sur sa consommation de drogue. Une situation dénoncée par le think tank (groupe de réflexion, NDLR) Heritage Foundation, qui considère que l’époux de Meghan Markle aurait été injustement autorisé à entrer sur le territoire. Alors que le ministère de la Sécurité intérieure avait décidé de maintenir confidentiels les documents liés au visa du prince Harry, la Heritage Foundation a décidé de rouvrir le dossier en lançant une action en justice afin d'y avoir accès.
Le prince Harry dans le viseur de Donald Trump ?
Le 5 février prochain, les avocats de la fondation et ceux du prince Harry plaideront leur cause devant le tribunal fédéral de Washington. Cette première audience depuis l’élection de Donald Trump pourrait ainsi permettre la divulgation de détails significatifs relatifs à l’immigration du mari de Meghan Markle. Le Daily Express a toutefois rappelé qu’on ignore pour l'instant s’il a admis sa consommation de drogue par le passé dans ses demandes de visa.
Cependant, pour le Britannique Nile Gardiner, le prince Harry devrait bientôt être expulsé des États-Unis.
Donald Trump inaugure une nouvelle ère de contrôle strict des frontières, et vous savez, le prince Harry devrait être tenu pleinement responsable, car il a admis avoir consommé de nombreuses drogues illégales.
A déclaré le journaliste conservateur.
Dans le passé, Donald Trump, fervent partisan de la monarchie britannique, avait déjà averti le frère cadet du prince William, à qui il a vivement reproché son comportement et son déballage médiatique dans la presse :
Je ne le protégerai pas. Il a trahi la reine. C’est impardonnable. Il serait livré à lui-même si cela ne tenait qu’à moi.
Affaire à suivre...