C'est un nouveau coup dur pour le prince Harry ! Si le papa du petit Archie pensait que son arrivée aux États-Unis allait se faire en douceur, ce n'est pas vraiment pas le cas... Dans une récente interview accordée au comédien Dax Shepard, le petite frère du prince William a confié que lors de son emménagement, sa famille avait été la cible des paparazzis : "Il y avait les hélicoptères, les drones, les paparazzis coupant la clôture, c’était de la folie !"
Choqué face à l'acharnement des médias, le prince a même avoué avoir été surpris par toute cette ferveur. L'époux de Meghan Markle n'aurait-il pas été un brin naïf sur ce point ? Sans aucun doute...
Le prince Harry tacle la constitution américaine
Toujours au cours de son entretien avec le comédien Dax Shepard, le prince Harry a carrément remis en question la Constitution américaine. En effet, celui-ci a tout particulièrement visé le premier amendement qui, selon lui, serait à l'origine de l'acharnement des paparazzis. Pour rappel, cet amendement protège la liberté d'expression des Américains en interdisant "au Congrès des États-Unis d'adopter des lois limitant la liberté de religion et d'expression, la liberté de la presse ou le droit de se rassembler pacifiquement'".
Un amendement que le prince Harry a bien du mal à comprendre :
Il y a tellement de choses que je veux dire sur le premier amendement tel que je le comprends en quelque sorte, mais c’est une folie.
Néanmoins, le prince Harry a tenu à préciser qu'il avait du mal à comprendre cet amendement mais seulement de son point de vue de jeune homme ayant grandi au Royaume-Uni :
Je ne veux pas commencer à évoquer le premier amendement parce que c'est un sujet énorme que je ne comprends pas. Je ne suis ici que depuis peu de temps.
Cible de critiques virulentes
Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette remarque du prince Harry n'a clairement pas plu sur la toile ! En effet, la prise de position du papa du petit Archie a fait l'objet de sévères critiques sur Twitter. Comme le rapporte le magazine The Sun.
Nigel Farage, leader populiste outre-Manche a profité de la polémique pour tacler le duc. Il a ainsi déclaré : "Le fait que le prince Harry condamne le premier amendement des États-Unis montre qu'il a perdu la tête". Des twittos anonymes ont également invité l'époux de Meghan Markle à "retourner en Angleterre". Sympa...