Pas une semaine ne se passe sans que Meghan Markle ne voit paraître un article sur elle, encore davantage dans la presse britannique. Et ces articles sont rarement élogieux.
La presse à scandales a notamment une dent contre la femme du prince Harry. Le 30 janvier encore, le Daily Mail a d’ailleurs publié un article sur elle, l’accusant d’avoir fait modifier l’acte de naissance de son fils Archie.
Meghan Markle retirée de l'acte de naissance au profit de son titre de duchesse
Pourquoi faire ? Pour y faire enlever ses prénoms, Meghan et Rachel et n’y faire figurer que le titre de noblesse qu’elle avait acquis en épousant le prince Harry, "Son Altesse Royale la Duchesse du Sussex".
Certains ont vu dans ce changement un hommage à la mère du prince Harry, Lady Diana qui ne signait que "Son Altesse Royale la princesse de Galles" mais beaucoup d’autres ont vu ça comme une sorte de première partie du plan consistant à quitter le Royaume-Uni et la famille royale par la même occasion.
"Ce serait risible si cela n'était pas offensant"
Des attaques qui ont ulcéré l’ancienne actrice. Par la voix d’un porte-parole, Meghan Markle a ainsi publié ce communiqué le 31 janvier :
Le changement de nom sur les documents publics en 2019 a été dicté par le Palais, comme le confirment les documents des hauts fonctionnaires du Palais. Ce n'était pas une demande de Meghan, la duchesse de Sussex ni du duc de Sussex.
Meghan Markle a poursuivi :
Voir ce tabloïd britannique et son carnaval de pseudo-experts choisir de transformer cela en une "rebuffade" familiale calculée et suggérer qu'elle voudrait étrangement que son nom ne figure pas sur le certificat de naissance de son enfant, ou sur tout autre document légal, serait risible si cela n'était pas offensant. Il y a beaucoup de choses qui se passent dans le monde, concentrons-nous sur cela plutôt que de faire naître un "clickbait".
Une réponse claire qui devrait mettre un terme à cette nouvelle polémique qui risque de disparaître aussi rapidement qu’elle est apparue. Meghan Markle va pouvoir souffler, du moins jusqu’au prochain scandale…