C'est tant bien que mal que Meghan Markle tente de se faire accepter auprès de sa belle-famille et du peuple britannique. Régulièrement critiquée, le moindre de ses faux-pas est scruté et analysé par la presse. Loin de faire l'unanimité, la duchesse de Sussex a la réputation d'être autoritaire et dépensière, à un tel point que la reine serait parfois obligée d'intervenir. Mais c'est à présent pour tout autre chose que la maman d'Archie a créé la polémique en Angleterre.
Une duchesse un peu trop engagée ?
Meghan Markle travaille depuis sept mois à l'élaboration du traditionnel September Issue, l'édition la plus importante du célèbre magazine Vogue. Nommée rédactrice en chef à cette occasion, l'épouse du Prince Harry a fait la part belle aux femmes engagées. Les lecteurs pourront découvrir "quinze portraits de femmes venant de tous horizons, chacune ayant un impact déterminant sur la société et la culture", telles que Greta Thunberg, Christy Turlington ou Jane Fonda.
Seulement, ce projet n'est pas vu d'un très bon œil par tous. Certains reprochent à Meghan Markle d'exprimer trop ouvertement ses opinions politiques. Une attitude inconvenante pour un membre de la famille royale, comme le pense Ann Widdecombe. La député européenne a déclaré à The Sun :
La famille royale ne devrait pas seulement rester en dehors de la politique, elle devrait tout faire pour rester en dehors de la politique.
La rédactrice en chef du magazine Majesty, Ingrid Seward, a quant à elle estimé :
La duchesse de Sussex a rendu un énorme service à la maison Condé Nast (éditeur de Vogue), un peu moins à la Couronne.
D'énièmes critiques qui ne devraient pas atteindre Meghan Markle, qui a d'ailleurs indiqué qu'"être rédactrice en chef invitée de Vogue a été une expérience enrichissante, éducative et inspirante".