Depuis son exil en Californie et son renoncement à ses titres royaux, le prince Harry a vu sa cote de popularité sérieusement chuter auprès de ses compatriotes. D’ailleurs, selon certains experts de la famille royale britannique, le petit frère du prince William enchaînerait les mensonges.
Récemment, les Sussex, en froid avec le reste des Windsor, ont été invités par le prince Charles à se rendre au Royaume-Uni. L’héritier du trône d’Angleterre, qui n’a encore jamais rencontré sa petite-fille Lilibet Diana, a décidé de faire un pas en avant vers son fils cadet.
Mais le prince Harry a imposé une petite condition : celle de bénéficier d’une sécurité renforcée lors de son retour au Royaume-Uni. Un avantage auquel il n’a plus droit depuis qu’il n’est plus un membre actif de la famille royale. Cependant, l’époux de Meghan Markle aurait proposé de financer lui-même cette protection rapprochée. Notamment en juillet dernier, à l’occasion de son passage express pour rendre hommage à sa mère, la regrettée Lady Diana. Une requête rejetée par l’administration judiciaire du royaume.
Le prince Harry saisit la justice
Le duc de Sussex a alors intenté une action en justice contre le ministère de l’Intérieur britannique. Une première dans l’histoire de la monarchie et qui a fait réagir nombre d’experts royaux. Comme le correspondant du Sun, Matt Wilkinson, qui a publié sur son compte Twitter :
Dans les documents remis au tribunal, le ministère de l’Intérieur déclare qu'Harry n’a pas proposé de financement privé lors de son retour en juin 2021, ni aucune des correspondances préalables à l’action qui ont suivi.
Un jeune homme capricieux ?
S’il a fait le choix de renoncer à ses fonctions royales, le prince Harry avait toutefois insisté pour conserver une protection rapprochée s’il avait à se rendre sur sa terre natale. D’après lui, le statut de sa famille nécessiterait une sécurité constante. Lancée en septembre dernier, son action en justice vient d’être étudiée par la Haute Cour de Londres ce vendredi 18 février.
Toujours sur Twitter, Matt Wilkinson a fait savoir que :
Le gouvernement a attribué au demandeur une forme de statut exceptionnel par lequel il est considéré pour la sécurité de la protection personnelle par la police avec des arrangements précis dépendants de la raison de sa présence en Grande-Bretagne, au cas par cas.
Le journaliste a ajouté que “le demandeur n’a pas accordé la mesure de respect nécessaire au défenseur”.
Ce n’est d’ailleurs qu’en septembre dernier, lors de son dépôt de plainte, que le père de Archie et Lilibet, aurait proposé de mettre la main à la poche pour assurer les frais de sa protection.
Alors que la reine Elizabeth II a déjà fort à faire avec le scandale dans lequel est empêtré le prince Andrew, interviendra-t-elle dans cette nouvelle affaire qui touche son petit-fils préféré ?