Révélée en 2013 dans la saison 7 de Secret Story, Anaïs Camizuli a par la suite participé à plusieurs autres émissions de télé-réalité. Mais, comme de nombreuses personnalités issues de la télévision, c’est sur les réseaux sociaux qu’elle a su retrouver un regain de popularité et une nouvelle source de revenus.

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Anaïs Camizuli @Instagram

Anaïs Camizuli évoque un univers malveillant

Pour la jeune maman, c’est une fierté d’avoir autant d’influence sur les réseaux sociaux après s’être fait connaître il y a plus de dix ans.

Bien qu’elle trouve beau que certaines personnes l’aiment pour ce qu’elle est, elle a tout de même souligné le côté nocif des réseaux sociaux. C’est à Jeff Lang2VIP qu’elle s’est confiée à ce sujet :

Les réseaux, aujourd’hui, ça a pris une ampleur incroyable. J’ai l’impression qu’à l’époque, il n’y avait pas autant de jugements, de critiques. Aujourd’hui, j’ai l’impression que les gens se réveillent, c’est réseaux, ils mangent réseaux. Je trouve ça dommage.

D’ailleurs, elle n’a pas manqué d’affirmer que pour elle, cela restait avant tout un travail qu’elle arrêterait immédiatement si cela ne lui rapportait plus d’argent :

Pour moi, ça reste un travail. Demain, ce n’est pas mon travail, ce n’est pas mon gagne-pain, ce n’est pas ce qui nourrit ma fille, j’arrête. Je trouve que les réseaux, ça ne rend pas les gens heureux.

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Des critiques constantes

« Il y a des moments où je n’en peux plus », a confié Anaïs Camizuli, souvent cible des critiques sur la toile. Elle avoue même que partir en tournage lui fait du bien, car cela lui permet de se couper des réseaux sociaux : « Que je fasse des tournages ou pas, ça fait onze ans que j’ai une vague de haters. Tout ce que je fais, on le critique : mon rôle de maman, mes réseaux sociaux, mon physique, ma façon de m’habiller, tout ! »

Selon elle, cela fait « partie du jeu », et les internautes ne s’arrêteront jamais de critiquer : « C’est la mentalité française aujourd’hui. Tu ne vois ça qu’en France. »

« Les gens, aujourd’hui, passent leur temps à déverser leur haine sur les réseaux en commentaires », a ajouté Anaïs Camizuli.

Qu’on la critique, elle dit pouvoir l’accepter, car elle en a l’habitude. Cependant, lorsque les attaques touchent sa fille, c’est plus difficile à supporter :

Quand ça touche à ma fille, c’est compliqué, parce que je me dis qu’elle n’a rien demandé. (…) Je ne l’affiche pas en plus, je la préserve. Qu’on m’attaque, j’ai l’habitude. Parfois, tu te dis pourquoi ? Je suis dans mon coin, je ne parle sur personne, je ne fais pas de bad buzz, je réponds si on m’attaque, mais je montre mon quotidien de vie simple et je suis sans cesse critiquée.

Sa forte personnalité, véritable « carapace », cache selon ses dires une hypersensibilité que les internautes ne soupçonnent pas forcément.