C'est à partir de 2018 que de nombreux candidats de télé-réalité, reconvertis en influenceurs, ont commencé à émigrer à Dubaï. Après Jessica Thivenin, la JLC Family ou encore Nabilla Benattia, ils sont désormais nombreux à vivre la vie de rêve dans la cité du golfe persique.
Plusieurs raisons expliquent cette expatriation massive vers les Émirats arabes unis. Les candidats ont en effet tous vanté une meilleure qualité de vie, un climat agréable et une sécurité inégalable. Mais il y a également une autre raison que ces derniers évoquent beaucoup plus rarement.
"C'est surtout pour les impôts"
Dylan Thiry n'a lui non plus pas su résister à l'appel de Dubaï. Alors qu'il était en couple avec son ex Fidji Ruiz, les deux jeunes gens se sont aussi installés dans une grande villa, où vit d'ailleurs toujours Fidji depuis leur rupture.
Le magazine GQ a consacré un article sur la ville du désert qui attire les influenceurs du monde entier et a interrogé Dylan Thiry sur son nouveau train de vie. Installé au Five Palm, un hôtel de luxe, dans une chambre louée à l'année, celui qui a été découvert dans Koh-Lanta : Cambodge a avoué pouvoir rouler en "Mercedes G500 imitation marbre noir" (un véhicule qui vaut dans les 200 000 euros) et qu'il a déménagé "surtout pour les impôts".
Car en effet, Dubaï est surtout un petit paradis fiscal où il n'y a aucune taxe sur les revenus ou les sociétés. Ainsi, tous les revenus que perçoit Dylan sont net d'impôts. Il peut donc se verser un confortable salaire, dont le montant peut être démesuré :
Il y a des mois où je fais un placement de produit à 18 000 euros, d'autres à 40 000… Ça varie tout le temps.
A-t-il expliqué, sans filtre au magazine GQ. Dylan "estime son revenu annuel proche de 600 000 euros.
Le prix à payer
Toutefois, le jeune homme de 26 ans a dû accepter de s'exposer sans cesse sur les réseaux sociaux pour pouvoir profiter de cette vie de luxe. Constamment connecté, le grand blond est contraint d'interagir "en permanence avec sa communauté" et passe en moyenne 16 heures sur son téléphone, "douze rien que sur Instagram", comme il est rapporté dans les colonnes du mensuel :
C'est vraiment abusé.
A d'abord reconnu Dylan, qui ne regrette rien mais a cependant admis que la célébrité était parfois dure à gérer :
C'est dur. En réalité, je suis plutôt pudique et j'ai dû aller à l'opposé de ce que je suis vraiment. Sinon, t'es pas suivi, on te connaît pas… Même quand tu te sépares de ta copine, t'es obligé, il faut l'exposer à tout le monde.
Et de conclure, avec logique :
Mais t'as le choix. Si tu veux arrêter, tu coupes ton téléphone et tu vas bosser à Auchan.