C’est en 2010, dans la première saison de l’émission Qui veut épouser mon fils ?, sur TF1, que Giuseppe Polimeno se fait connaître du grand public. Âgé de 39 ans à l'époque et déjà papa de deux garçons, celui qui a vu le jour à Mantes-la-ville, dans les Yvelines, a su marquer les téléspectateurs. Car ces derniers ont vite compris pourquoi il avait du mal à trouver l'heureuse élue.
En effet, Giuseppe a montré qu'il était resté le fils à sa maman, Marie-France, qui se pliait en quatre pour satisfaire le moindre de ses désirs. Plus de dix ans après leur exposition médiatique, il faut croire que leur relation n’a pas changé.
Après avoir obtenu son propre dynasty-show en 2014, intitulé Giuseppe Ristorante : une histoire de famille, l’ancien candidat de télé-réalité a refait parler de lui dans la presse pour une fâcheuse raison. En 2016, il passait en jugement après une plainte déposée par l’une de des ex, une dénommée Hinda, avec qui il a eu un enfant. Cette dernière l’a accusé de harcèlement, menaces de mort et de violences conjugales. Et la justice a tranché en faveur de la jeune femme. L’enfant gâté de Marie-France a ainsi été condamné à verser 4000 euros de dommages et intérêts à son ex et à deux ans de prison, dont un an ferme.
Une incarcération plutôt bien vécue
Reçu sur le plateau de l’émission Chez Jordan avec sa chère maman, celui qui est désormais quinquagénaire a bien voulu évoquer cette sombre période de sa vie. Il a d'abord reconnu avoir effectivement harcelé la mère de sa seconde fille. Si ses souvenirs sont bons, il lui aurait passé plus de 700 appels : "Quand on s’engueulait et qu’elle me mettait dehors, j’étais à la rue donc j’appelais et je harcelais", s'est-il justifié.
Cependant, Giuseppe a nié en bloc les accusation de violences conjugales, affirmant avoir été victime de calomnie :
C'est sa copine qui dit ça, jamais de la vie je ne mettrais la main sur la mère de mes enfants. Et sa copine, je ne la connais ni d'Adam ni d'Eve.
A-t-il indiqué.
Par la suite, le macho italien s’est livré sur son passage en prison. Et si l’on en croit ses propos, cette expérience ne s’est pas révélée particulièrement traumatisante.
"Personne ne m’a embêté"
C’est dans la région de Cannes que Giuseppe a été emprisonné, non loin de l’endroit où il avait élu domicile avec Hinda. Avec son franc-parler légendaire, il a fait savoir à Jordan de Luxe qu’il avait très bien vécu son séjour à l’ombre :
On va se parler franchement, quand vous venez de la région parisienne, Mantes-la-Jolie, les Mureaux, Saint-Denis, Trappes… à Cannes ce n'est pas le même calibre. On n'a pas les mêmes voyous. Donc, ça a été plus facile pour moi de m'adapter.
En outre, Giuseppe a réussi à convaincre le directeur de la prison de le placer avec un seul codétenu et de lui éviter "les pointeurs", (violeurs, NDLR) : "Et personne ne m’a embêté", a-t-il assuré. D’autant plus qu’il était en possession d’un téléphone portable. Ce qui, d’après lui, est très répandu dans les maisons d’arrêt : "En prison, tout le monde a le téléphone. Moi, je l'avais par rapport à mon codétenu qui était super gentil et propre", s'est-il souvenu.
Giuseppe a également révélé qu’"on peut tout avoir dans les prisons". Ce à quoi Marie-France a réagi, précisant qu’elle avait mis "beaucoup d’argent" sur le compte de son fils, justement pour que son passage derrière les barreaux se passe le mieux possible.
Vous l’aurez compris, à 52 ans, Giuseppe Polimeno est toujours autant couvé par sa maman.