C’est un fait, Jazz Correia a toujours été la cible des critiques (et ce n’est pas un scoop). La jeune femme n’a jamais fait l’unanimité auprès des fans de télé-réalité, et ce, depuis ses débuts à la télévision. La situation ne s’est pas arrangée au fil des années. Pire encore, ses détracteurs s’en prennent désormais à ses enfants : Chelsea, Cayden et London.
Un article du journal Le Parisien a particulièrement attiré l’attention. Celui-ci a été partagé sur leurs réseaux sociaux, et nous pouvions lire en légende : "Ils offrent leurs enfants à des pédophiles". Plusieurs influenceurs ont été cités par la suite comme Poupette Kenza mais aussi la JLC Family. Jazz Correia est donc logiquement sortie de ses gonds. Le journal a fait de lourdes accusations et se retrouve ainsi dans son viseur.
"C'est extrêmement violent et grave comme propos"
Jazz Correia est en colère et elle le fait savoir sur ses réseaux sociaux. Il faut dire que Le Parisien a dressé un tableau peu reluisant des parents de Chelsea, Cayden et London. En effet, Laurent et sa femme auraient "exploité l'image de leurs enfants dénudés" à en croire le titre de l'article. Tout est parti du fait que leurs enfants s’affichent torse nu, en maillots de bain à la plage ou chez eux à Dubaï.
D’habitude, la trentenaire préfère vaquer à ses occupations sans vraiment se soucier des propos virulents à son encontre. Oui, mais voilà, cette fois-ci, elle ne va pas passer l’éponge et pour cause, ses enfants sont concernés. Apparemment, certains médias relaient de fausses informations à son sujet au lieu de s’intéresser aux problèmes dans le monde comme le séisme au Maroc ou la disparition d’Émile.
Jazz Correia ne va pas en rester là
Une fois cette mise au point faite, celle qui a réagi à la déclaration de Poupette Kenza s’est adressée aux "mamans haters". La star de la JLC Family a clairement fait savoir qu’elle compte les bloquer une par une. Quant au journal Le Parisien, l’influenceuse a assuré que ces accusations ne resteront pas impunies. En effet, elle va porter l’affaire devant la justice. Selon ses propos, le journal quotidien risque de s’en mordre les doigts. Affaire à suivre !