Le mardi 10 avril, Magali Berdah, responsable de l'agence Shauna Event publiait un message sur ses réseaux sociaux annonçant que Jazz et Laurent avaient étés victimes d'un braquage à main armée. Si Laurent et la sœur de Jazz se sont exprimés sur cette violente agression, la principale intéressée s'était fait discrète. Or, c'est pour marquer son retour sur les réseaux sociaux que la candidate des Anges 8 a tenu à s'exprimer sur cet événement "horrible".
"Il y avait un homme cagoulé dans ma chambre, devant ma fille et moi"
Victime d'un violent braquage à main armée avec son compagnon Laurent - qui s'en est sorti avec 52 points de suture - Jazz a décidé de livrer de nouveaux détails sur ce moment traumatisant. Ainsi, la jeune maman, qui en a profité pour remercier ses proches et ses fans, est revenue premièrement sur le déroulement de la soirée.
Je n’étais vraiment pas bien, je voulais parler avec vous sans fondre en larmes
a-t-elle premièrement expliqué.
Jazz raconte ensuite qu'il était aux alentours de 20h30 lorsque des individus ont fait irruption chez elle. La jeune maman dormait alors paisiblement avec sa fille.
Il était à peu près 20h30 et j’étais dans mon lit avec Chelsea. Je m’endormais et Laurent était dans le salon. Au début, je croyais qu’il criait pour le foot. Et le temps que j’ouvre les yeux, il y avait un homme cagoulé dans ma chambre, devant ma fille et moi.
"Ce qu’ils nous ont fait, c’est horrible"
La jeune femme est d'ailleurs certaine que ses bourreaux la suivaient depuis un moment avant leur passage à l’acte.
Ces personnes qui nous ont fait beaucoup de mal connaissaient notre vie. Ils savaient où nous trouver et à quelle heure via nos réseaux sociaux. Pour savoir où je vivais, ils nous ont certainement suivis Ce qu’ils nous ont fait, c’est horrible.
En pleurs, la candidate de télé-réalité explique également la violence qu'elle, sa fille et Laurent ont subi :
J’ai vu mon mari se faire fracasser devant moi. J’étais impuissante, je ne pouvais rien faire. Si je me levais, je mettais ma fille en danger. Je l’avais dans mes bras, je priais pour qu’on ne me la prenne pas Il fallait que je protège ma fille. Et pendant ce temps, Laurent hurlait en disant “Laissez ma femme, laissez ma fille !”
Une scène d’une violence inouïe, qui ne laisse aucun doute sur la véracité des propos de la jeune femme. En effet, de nombreux internautes soupçonnaient une fraude à l'assurance.