Jessica Thivenin s'est fait connaître en début d'année 2014 dans Les Marseillais à Rio. Après cette première télé, la jeune femme a enchainé les émissions du même programme. Depuis, cette dernière a trouvé l'amour dans les bras de Thibault Garcia et ensemble ils ont eu deux enfants : Maylone et Leewane.
Installés à Dubaï, les deux parents partagent leur quotidien sur les réseaux sociaux. Tous les jours, ils exposent leurs enfants sur Instagram ou Snapchat. Les abonnés peuvent les voir aller à l'école, jouer au ballon, manger, dormir, rien ne leur échappe...
Jessica face à la médiatisation de ses enfants
Ce dimanche 17, France 5 diffusait le reportage Enfants sous influence : surexposés au nom du like. Pour ce sujet très actuel, les journalistes ont interrogé plusieurs mamans influenceuses dont, Jessica Thivenin. Très active sur les réseaux sociaux, la star de télé-réalité, est en effet, la personne idéale à questionner.
Elle a donc donné son avis sur le fait que partager des photos de ses enfants sur internet n'est pas un acte anodin :
On ne s'imagine pas qu'il y ait des gens bizarres, en fait, sur les réseaux sociaux. C'est vrai qu'on y pense pas à ces gens. Il y en a bien sûr... mais j'ai pas l'impression qu'on mette nos enfants en danger parce qu'ils apparaissent dans nos stories en train de faire une partie de football et tirer dans un ballon.
Elle ajoute :
C'est vrai que depuis que les enfants sont nés, on partage notre quotidien et aussi les gens derrière, ils t'envoient des messages, ils attendent qu'une chose c'est de voir ton enfant. On a des comptes fans également, qui ouvrent des comptes spécialement pour mes enfants.
"Ça peut finir entre de mauvaises mains"
Le reportage France 5 cherche donc à mettre en avant tous les dangers de la surexposition des enfants sur Internet. Jessica Thivenin gagne sa vie, grâce a ses placements de produits, ses stories et ses posts Instagram ou Snapchat.
Je ne pense pas utiliser mes enfants pour faire notre business. Par contre je partage ma vie, car j'ai toujours partagé ma vie, avant mes enfants, après mes enfants et je le ferai peut-être plus tard quand les enfants en seront plus là.
On vous laisse avec un extrait du reportage repartagé par la page Brut :