Julia Paredes vit sa vie rêvée à Dubaï avec sa fille Luna et son fils Vittorio. Révélée en 2014 dans la première saison de Friends Trip, celle qui a enchaîné les tournages de télé-réalité fait désormais partie des candidates de Mamans & Célèbres. Suivie par plus d’un million de personnes sur Instagram, la jeune maman est une véritable influenceuse qui a vu son business en prendre un sacré coup. Explications.
Julia Paredes se confie sur les placements de produits
C’est pour son émission Baby Story que Jeremstar est allé voir Julia Paredes. Alors que Julia Paredes avait emmené Vittorio à la crèche, Jeremstar lui a demandé si c’était difficile à Dubaï d’avoir une place pour son enfant dans une crèche.
Ici ce n’est pas dur d’avoir des places parce qu’il faut payer quoi qu’il arrive. Donc quand tu paies tu as ta place.
a-t-elle déclaré avant d’avouer payer « quasiment 1 000 euros » par mois pour pouvoir mettre son enfant à la crèche.
Lorsque Jeremstar lui a dit que, de toute manière, elle gagnait beaucoup d’argent grâce aux placements de produits, elle a rétorqué.
On n’a plus énormément de placements. Avec les polémiques qu’il y a eues avec les influenceurs en France etc. Ça nous a tué notre boulot.
Elle a par la suite parlé chiffres en dévoilant l’incroyable différence des sommes qu’elle pouvait toucher.
Il y a des mois où je gagnais 35 000 à 40 000 euros. Et après les polémiques, on est à 5000 euros.
Elle a ajouté :
nous a tué le business ! (...) Il a fait le nettoyage naturel ! Donc au final, certains partent de Dubaï parce qu’il faut pouvoir assumer le train de vie ici…
Booba et son combat contre les « influvoleurs »
En effet, le rappeur Booba s’est lancé dans un combat contre ceux qu’il qualifie d’ « influvoleurs ». Il n’a de cesse de pointer du doigt les dérives de ce milieu et il faut croire que cela a été entendu par les politiciens puisque, depuis, la DGCCRF scrute les publications des influenceurs et n’hésitent pas à sanctionner ceux qui ne respectent pas les règles et s’adonnent à des placements de produits frauduleux ou bien ne précisent pas qu’il s’agit d’une publication commerciale.