C’est en 2012, dans la deuxième saison de Qui veut épouser mon fils ?, que Linda Roubine s’est fait connaître du grand public. Et la maman d’Alexandre a incontestablement marqué l’ancien programme de TF1, présenté à l’époque par Elsa Fayer.
En effet, les téléspectateurs ont pu très vite s’apercevoir que celle qui a été présentée comme une mère-poule, limite envahissante, n’était pas du genre à avoir sa langue dans sa poche. Aussi, ne s’est-elle pas gênée pour vivement critiquer Corinna, la prétendante choisie par son fils, à l’encontre de son avis. Si le couple n’a pas perduré après le tournage, la présence de Linda aura grandement contribué au succès de l’émission, qui a réalisé d’excellentes audiences.
Remarquée par les productions, Linda s’est ensuite envolée vers Sydney en 2014, pour participer à la sixième saison des Anges, sur NRJ12. Elle réitérera l’expérience à deux reprises et décrochera même un poste de chroniqueuse dans Le Mag. Par la suite, celle qui est désormais grand-mère a tourné le dos au milieu de la télé-réalité mais ses fans ont pu la retrouver notamment dans Un dîner presque parfait ou bien Incroyables transformations, sur M6. Et après plusieurs années d’absence, Linda s’apprête à faire son retour sur le petit écran.
Un retour gâché ?
En effet, plus que quelques jours avant de découvrir la troisième saison des Cinquante, sur W9. À partir de ce lundi 2 septembre, les téléspectateurs pourront suivre les exploits de Jordan Faelens, Hillary Vanderosieren, Kevin Guedj, Kim Glow, Lou Pernaut ou bien Linda, qui a retrouvé une autre doyenne de la télé-réalité en la personne de Frédérique Brugiroux, également ancienne candidate des Anges.
Mais alors qu’elle aurait dû se réjouir de la prochaine diffusion, c’est bouleversée que Linda s’est emparée de son téléphone pour s’adresser à Sam Zirah en story. Car le blogueur vient de remettre en ligne sur sa chaîne YouTube une ancienne interview que lui avait accordée Linda en début d'année. C’est ainsi qu’elle avait évoqué sans tabou son parcours de vie, révélant au passage qu’elle n’a pu être présente auprès de son fils chéri comme elle l’aurait voulu : "Je l’ai pas élevé, mon fils", a balancé Linda à Sam Zirah, qui lui a alors demandé pourquoi.
Je l’ai pas aimé comme il fallait. (…) Je l’ai aimé mais pas comme il fallait. Je n’arrivais pas à l’élever, il avait une nounou pour l’élever. (…) J’arrivais pas ! J’étais tout le temps en dépression ! J’étais dans les magasins, je travaillais matin, midi et soir ! Comment tu veux que j’élève un garçon ?
Un discours qui contraste avec l'image qu'elle a renvoyée dans Qui veut épouser mon fils ? Lancée dans ses déclarations, Linda a également confié être passée du statut de milliardaire à bénéficiaire du RSA :
On a été très, très, très riches. On a été milliardaires. On a fait le milliard en chiffre d’affaires dans le cuir. (…) On a eu une descente aux enfers ! On a flambé, on est restés sans une thune ! On est restés à la rue !
Cependant, si elle s’était exprimée avec véhémence et sans ambiguïté face au blogueur, il semblerait que la septuagénaire n’assume plus vraiment ses propos.
"T'as trouvé bon de mettre ces vidéos maintenant, là ?"
Ce mercredi 28 août, Linda n'a pas mâché ses mots pour interpeller Sam Zirah sur les réseaux sociaux, qu’elle accuse de vouloir faire le buzz à ses dépens, à quelques jours du lancement de la nouvelle saison des Cinquante : "Depuis février, on l'a faite cette interview, qu’est-ce t’avais besoin de le (sic) mettre ? Pourquoi, parce que je vais passer dans Les Cinquante ?", s’est-elle emportée, face caméra. Et d’indiquer qu’elle "reçoit des messages pourris" :
Tu l’as mise sur Twitter, tu l’as mise sur Instagram, sur Tiktok, enfin pour quoi faire ? Est-ce que c’était vraiment nécessaire de la mettre ? De mettre ces vidéos, pour que je me fasse défoncer, comme d’habitude !
Au bord des larmes, Linda Roubine a insisté, regrettant amèrement ses confidences à Sam Zirah :
Tu crois que c’était bon de la mettre pour avoir des vues ? Voilà dans quel état je suis, tu imagines, mon fils, il va voir ça et les commentaires… (...) Tu n'avais pas à mettre cette vidéo. C'est quoi ton but ? (…) On l’a tournée le 23 février 2023 (sic) mais toi, t’avais pas autre chose à mettre ? (...) Je croyais que tu m'avais oubliée, zappée, c'est bon... Je me fais démonter, là ! C'était personnel, j'aurais jamais dû te raconter.
Qu'en pensez-vous ?