Maeva Ghennam a une véritable passion pour le maquillage qu’elle a alors voulu concrétiser en lançant sa propre marque de maquillage appelée Maeva Ghennam Beauty. Bien évidemment, la candidate s’attendait à recevoir des critiques et cela a été le cas.

Elle répond aux haters

C’est passablement agacée que Maeva Ghennam a pris la parole sur Snapchat :

Ça m’a mis vener. Je suis de près les avis sur Maeva Ghennam Beauty. Je pense que certaines critiques reflètent de la jalousie. Deux ans que je travaille sur ma marque. Si j’ai pu me permettre de sortir autant de produits en même temps, c’est parce que j’avais du budget. J’ai investi beaucoup d’argent, plus de 100 000 euros.

La jeune femme affirme s’être donnée à 100% pour cette marque. Malgré ce que certaines personnes peuvent penser, elle déclare être allée à plusieurs reprises dans l’usine qui a fabriqué son make-up pour suivre de A à Z l’élaboration de sa marque.

Tous mes produits, je les ai créés moi-même. Je suis partie plusieurs fois à l’usine. J’ai vraiment tout fait de A à Z. Eh oui ça m’a pris deux ans parce que je n’ai pas voulu venir sur le marché avec un seul produit.

La qualité française

Maeva Ghennam a ajouté avoir voulu offrir la meilleure des qualités à ses fans. Celle dont la marque porte son nom a donc souhaité faire en sorte d’avoir les meilleurs produits possibles.

Mes produits, c’est le top de la qualité et c’est 100% Français. C’est ce qui coûte le plus cher en fabrication. Je vais être honnête, je n’ai pas voulu faire d’économie là-dessus. On sait que la qualité Française c’est ce qu’il y a de mieux au monde. Même en France il y a plusieurs gammes. J’ai pris le top niveau !  Ce n’est pas testé sur les animaux, c’est made in France, sans parabène.

Elle a par la suite ajouté :

En France, il est obligatoire de ne pas faire tester ses produits sur les animaux donc il est interdit de le mentionner sur le packaging depuis quelques années. J’accepte la critique mais j’ai tout fait pour que mon maquillage soit incritiquable car je savais que j’allais me prendre une vague de rageuses.

Voilà qui est dit !