Découverte en 2018 dans Les Marseillais : Australia, Maeva Ghennam a de suite été adoptée par la bande de joyeux sudistes. D’autant plus que son histoire d’amour tumultueuse avec Greg Yega a longtemps été au centre des épisodes de l’ancien programme phare de W9. C’est donc tout naturellement que la bimbo au caractère bien trempé a enchaîné les tournages, devenant au fil des saisons une candidate emblématique de télé-réalité.
Fort de ce succès, elle a lancé sa marque de cosmétiques, Maeva Ghennam Beauty, et a même animé sa propre émission, Dressing VIP by Maeva, qui a connu deux saisons sur la plateforme 6Play. Suivie par plus de 3 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux, l'ancienne meilleure amie de Carla Moreau a toutefois souvent été à l’origine de bad buzz, comme la fois où elle déclarait avoir fait rajeunir ses parties intimes. Des propos qui ont suscité une véritable polémique et fait réagir jusque dans la sphère politique, obligeant Maeva à présenter ses excuses. Malgré tout, Maeva reste une influenceuse très populaire, qui, apparemment, a fait fortune depuis l'avènement des réseaux sociaux.
Une femme d’affaires redoutable ?
Souvent décrite comme une bimbo écervelée, Maeva a tenu à prouver le contraire à ses détracteurs. Dans une longue story publiée sur Snapchat ce jeudi 26 septembre, la Marseillaise a affirmé être devenue multimillionnaire, non pas "grâce à ses collaborations et ses placements de produits" mais "grâce aux investissements qu’ {elle} a faits" :
Je vous explique, les filles. Quand on calcule la fortune de quelqu’un, on calcule son argent, plus ses biens immobiliers et matériels. Et à partir de ça, on fait un calcul. Et la fille bête, vous voyez, (…) elle est multimillionnaire. Voilà. Donc, je vous souhaite d’être bête comme moi.
A-t-elle ironisé, avant de révéler que "là où {elle} a gagné le plus d’argent, c’est dans l’immobilier, dans les montres et dans les sacs".
"Donc si je peux vous donner un conseil, c’est d’investir dans l’immobilier", a assuré Maeva à ses fans, avant d'avouer avoir perdu de l’argent "dans la cryptomonnaie" et "les Légo d’or" (sic) : "L’or, ça monte", a tenu à informer celle qui a été victime d’une violente agression à son domicile marseillais.
A Dubaï, c’est le meilleur investissement que j’ai pu faire et c’est ce que je vous recommande. Aujourd’hui, mon objectif, c’est d’être rentière. Je ne le suis pas, je peux l’être à l’heure actuelle mais je ne le suis pas encore, par choix.
Et d'expliquer qu'elle est très "fière" de son parcours, rappelant qu'elle est "une fille qui vient des quartiers nord (de Marseille, NDLR), qui vient des HLM" :
Aujourd'hui, je suis qui je suis, grâce à moi, toute seule, je vous le dis avec toute humilité et j'ai réussi.
Maeva Ghennam touchée par les critiques
Pour finir, Maeva a déclaré qu'elle en avait "marre qu'on {la} traite de bête, d'écervelée, de bimbo" : "Certes, physiquement, je suis en plastique mais moi, mon intérieur, il est vrai". Et elle aura bientôt l'occasion de prouver qu'elle est capable de repousser ses limites en altitude.
En effet, inspirée par le long-métrage du YouTubeur Inoxtag, Kaizen : 1 an pour gravir l’Everest, la pétillante brune s'est découvert une soudaine passion pour l'alpinisme. Le 19 septembre dernier, elle prenait la parole sur ses réseaux sociaux pour dévoiler sa nouvelle lubie. "Je vais mettre Inoxtag, là, je suis en train de regarder son reportage… Les filles… J’ai envie de gravir l’Everest". Mais après avoir reconnu qu’"à son niveau, il va falloir beaucoup d’entraînement" pour se lancer à la conquête de la montagne asiatique, la bimbo a toutefois trouvé une alternative et a lancé un appel à d’éventuels volontaires pour l'accompagner dans sa démarche :
Mais peut-être que le mont Blanc… Est-ce que c'est possible ? Est-ce que y a des gens qui travaillent dans la montagne, (…) est-ce que vous pouvez devenir mon guide pour gravir le mont Blanc ? J'ai envie.
Et alors qu'elle s'était réjouie d'avoir été contactée par l'un des guides qui a accompagné Inoxtag dans son ascension, Maeva Ghennam est passée du rire aux larmes. Mais pas question pour la jeune femme de 27 ans d'abandonner son projet, qui aurait intéressé plusieurs boîtes de production.