Marwa Merazka n’est plus un cœur à prendre. Après une participation remarquée dans la première saison de The Power, sur W9, elle a retrouvé l’amour sur le tournage de La Villa des Cœurs Brisés 9. Et l’heureux élu n’est autre que Vincent Queijo, l’ex de Rym Renom et père de Maria-Valentina et Alma.
Après plusieurs mois de rumeurs, les deux tourtereaux avaient officialisé leur relation sur les réseaux sociaux, le 21 août dernier. Puis, le couple avait posé leurs valises à Bali. Souffrant de fortes douleurs à son retour en France, la Suissesse a été hospitalisée d’urgence. Et ce dimanche 8 septembre 2024, elle s’est enfin confiée sur son état de santé.
Marwa Merazka pensait au pire
Le 4 septembre dernier, le lendemain de son retour en France, la chérie de Vincent Queijo avait révélé à sa communauté ce qui lui était arrivé. "J'ai dû me rendre à l'hôpital à peine arrivée (...) J'étais mal à un point, je ne vous raconte même pas", avait-elle fait savoir. Et la jeune femme de 28 ans avait confié qu’elle devait alors se reposer. Ce, avant de disparaître temporairement des réseaux sociaux.
Et dimanche dernier, Marwa Merazka s’est emparée de son compte Snapchat pour donner de ses nouvelles. Elle s’est voulue plutôt rassurante. D’autant plus que ses fans se faisaient un sang d’encre pour elle. Malgré tout, la candidate de télé-réalité pensait avoir frôlé le pire.
J'ai eu un problème de santé assez conséquent. Heureusement que j'ai quand même agi à temps parce que ça aurait pu être pire. Je suis sous traitement. Je n'étais vraiment pas bien du tout (...) C'est la première fois de ma vie où je pensais que j'allais y passer et ne plus revoir ma famille, mon chéri, que j'allais partir de ce monde.
"Je pleurais tous les jours"
Ces derniers jours n’ont donc pas été de tout repos pour Marwa. Et auprès de sa communauté, elle a fait part de son calvaire. "J'étais vraiment au bout de ma vie, je pleurais tous les jours, j'en avais marre", a-t-elle confié. Celle qui serait en froid avec Maeva Ghennam n’a cependant pas donné des détails sur le mal qui la rongeait. Quoi qu’il en soit, elle se porte mieux aujourd’hui. Et c’est le plus important.