Depuis le 2 septembre dernier, les téléspectateurs peuvent voir la troisième saison des Cinquante, sur W9. Une nouvelle aventure à laquelle a participé une flopée de candidats de télé-réalité, dont certains en ont profité pour faire leur grand retour sur le petit écran.

Ainsi, Hillary Vanderosieren, Kim Glow, Jordan Faelens ou bien Kevin Guedj ont tous accepté l’invitation du Lion pour la première fois, quand d’autres connaissent déjà bien le château de Bertichères. C’est notamment le cas de Nicolò Ferrari, qui y a posé ses valises pour la seconde fois. Cette année, il a eu l’occasion de retrouver Nikola Lozina sur place, son meilleur ennemi qui figure également au casting.

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Nicolò Ferrari @ YouTube

En effet, entre Nicolò et Nikola, le courant n’est jamais vraiment passé. Les deux candidats ont fait connaissance en 2022, sur le tournage de l’ultime cross des Marseillais. Et le Milanais d’origine est arrivé plein d’ambition dans la compétition, bien décidé à remplacer le grand Belge en tant que chef de la famille du Reste du Monde. Un statut occupé par Nikola depuis les précédentes éditions et qui n’avait encore jamais été remis en question.

Une rancune tenace ?

Mais contrairement à Julien Tanti, chef de famille des Marseillais, Nikola a toujours eu bien du mal à fédérer les membres de son équipe. Car le jeune homme devait constamment composer à chaque saison avec de nouveaux candidats, dont certains étaient loin de se sentir fidèles ou redevables. Aussi, dès son arrivée dans le jeu, Nicolò avait clairement fait connaître ses intentions, à savoir, faire éliminer Nikola, qu’il jugeait inapte à endosser le rôle de chef. Et il est parvenu à ses fins.

Les gars, je ne sais pas quoi vous dire… Je n’ai pas envie de spoiler mais le dégoût et la rage commencent à me monter. Franchement, je n’ose même pas regarder tellement ça me répugne.

Avait réagi l'ex de Laura Lempika, dépité, peu après la diffusion de l’épisode de son élimination.

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Nikola Lozina @ W9

Nikola Lozina est toutefois revenu dans le jeu quelques jours plus tard et Nicolò lui a alors rendu sa place de chef. Cependant, "le lord" ne lui a visiblement jamais pardonné de l’avoir destitué. Malgré leur dernier échange où ils s’étaient montrés plutôt cordiaux l’un envers l’autre face caméra, les deux candidats sont en réalité loin de s’apprécier, comme en ont témoigné leurs retrouvailles glaciales dans Les Cinquante.

Nicolò Ferrari met les choses au clair

D’ailleurs, l'ex de Victoria Mehault n’hésite pas à régulièrement tacler en interview celui qu'il a renommé "le lord du dimanche", ce qui lui a été reproché par certains internautes. Aussi, ce dimanche 8 septembre 2024, Nicolò a pris la parole sur les réseaux sociaux afin de mettre les choses au clair : "Y a trois, quatre personnes qui disent que moi, je parle de Lozina pour du buzz. Moi, j’ai commencé la télé en 2016 en Italie, Lozina, il était encore en train d’envoyer sa candidature pour Mr. Belgique, hein", a-t-il commencé, non sans sarcasme.

Et d’expliquer que "sur une journée de tournage", il y a "plus ou moins une heure et demie, deux heures, deux heures et demie, trois heures, des fois, d’interview selon les séquences" qui ont été tournées.

Quand tu parles en salle d’interview pour trois heures, on te demande de tout (…) et après au montage, ils font une sélection de tes interviews et ils montent les interviews selon les séquences qu’ils veulent monter dans les épisodes. C’est pas de ma faute s’ils montrent des interviews où je parle de lui. Ça veut pas dire que si vous avez vu deux interviews où je parle de lui que je parle de lui tout le temps. J’ai parlé de tout le monde, ok ?

S’est justifié Nicolò.

Aussi, à l’inverse, c’est pas parce que vous n’avez pas vu des interviews de Nikola en train de parler de moi qu’il ne l’a pas fait en interview. Peut-être qu’ils ne les ont pas montées parce qu’elles n’étaient pas drôles ou c’était pas pertinent, ou je sais pas quoi.

A-t-il poursuivi, avant d'affirmer qu'il ne court pas après le "buzz" :

En plus je peux vous dire, ce mot "buzz", je peux plus, c’est pas possible. Je déteste ce mot associé à ma personne parce que je suis vraiment l’anti-buzz. (…) Et après avec Lozina, mais quel buzz il peut me donner, Nikola ? Avec tout le respect, hein… Zéro. Surtout que j’en ai pas besoin du buzz. Y a des gens qui s’inventent des buzz toutes les semaines parce qu’ils espèrent qu’on les rappelle pour les télés, moi, je fais zéro buzz (…) et on m’appelle quand même.

Pour finir, Nicolò Ferrari a fait savoir qu'il ne cherchait pas à plaire à tout le monde et qu'il restait 100% lui-même, devant ou derrière les caméras :

Du coup, arrêtez de me parler de buzz. Vous êtes fans de Lozina ? Très bien, super. Je l’accepte. Vous me détestez ? Je l’accepte aussi, je vais survivre à ça. J’ai pas envie de plaire à tout le monde, y a que les plantes vertes, les gens sans caractère, les lèches-c*l et les gens qui ne se positionnent pas qui plaisent à tout monde et moi, je n’ai envie d’être mis dans cette case. Ça ne fait pas partie de ma personnalité.