Depuis plusieurs années, Sam Zirah est devenu l’un des blogueurs spécialistes de la télé-réalité. Après son émission En toute intimité, diffusée sur sa chaîne YouTube, il anime désormais chaque semaine un talk-show baptisé Au jour d’aujourd’hui (AJA). L’occasion pour les candidats et candidates de défiler dans le salon cosy qui fait office de plateau pour balancer sur les coulisses de la télé-réalité.
Ce mercredi 22 mars, Sam Zirah recevait Vincent Shogun, ancien candidat emblématique des Ch’tis, avec sa compagne Cléa. Et c’est en larmes que le jeune homme a fait une révélation de taille. En effet, on a pu apprendre que Vincent est père d’un enfant de trois ans. Cet enfant, il ne l'a pas désiré et il ne se souvenait plus de son prénom avant que Sam Zirah ne le lui rappelle :
Pour moi, je ne suis pas papa.
a d’abord affirmé Vincent, avant d’expliquer qu’il avait été mis au pied du mur : "Il y a longtemps, j’étais en soirée et voilà, je ne me suis pas protégé. On m’a fait un enfant et je n’ai pas eu le choix de le garder".
Une information qu’il n'avait pas jugé utile de dévoiler à Cléa, mise au courant par une tierce personne qui lui a envoyé une photo de la progéniture de son chéri :
Je l’ai appris par une personne qui voulait nous détruire, qui m’a, un jour, envoyé une photo en disant : "Voilà, tiens, ton Shogun, il te ment, il est papa et voici sa tête".
a confié la jeune femme, très émue.
Les internautes indignés
Les confidences du couple ont beaucoup fait réagir sur la Toile. Si certains internautes ont pris le parti de Vincent, d’autres ont jugé que son choix était égoïste et que son fils pourrait à l’avenir terriblement souffrir de son absence. Et Cléa n’a pas non plus été épargnée par les critiques.
Face aux nombreux commentaires négatifs qu’il a pu lire, l’ex de Virginie Conte a pris la parole sur son compte Instagram. Dans un long texte, il a ainsi tenu à se justifier et clarifier ses propos :
Je ne dirais qu’un mot : ne jugez personne. Vous n’êtes pas à nos places pour vous le permettre. Chacun est heureux dans sa vie et surtout, on respecte nos décisions même si pendant très longtemps, j’ai souffert de cette imposition et je me suis senti trahi, pris au piège.
a-t-il écrit, confirmant qu'il avait "passé un accord" avec celle qui n'est pas restée dans sa vie.
Et d’estimer que, selon lui, "on n’impose pas la paternité à qui que ce soit, surtout lorsqu’on fait confiance à son/sa partenaire, sexuellement parlant. Elle prenait la pilule, nous ne nous sommes pas protégés", a-t-il déclaré au sujet de la mère de son enfant, une dénommée Marine.
"Un enfant, ça se désire à deux"
Vincent Cohen Szewczyk, de son vrai nom, a poursuivi sa mise au point. Il a rappelé que Marine "a décidé toute seule de garder cet enfant" : "En sachant que je ne le voulais pas, qu’il n’était pas désiré. (…) Je l’ai vécu comme un enfant dans le dos", s'est-il souvenu.
Pour finir, celui qui a été blacklisté du milieu de la télé-réalité a indiqué que "la naissance d’un enfant, ça se désire à deux. Seulement, il arrive que ce choix soit impossible". Et d’ajouter :
La femme dispose d’un atout maître, ce corps capable de fabriquer la vie… Ce qui est merveilleux à mes yeux mais que faire face à un tel pouvoir ?
Vincent Shogun a également indiqué que la mère de son fils souhaite "l’élever seule" et qu’il ne "l’a pas obligée à avorter car elle avait des soucis de santé".
De quoi faire cesser les jugements de valeur ?