Lors d’un séjour en Belgique, Céline Dion a vécu une terrible mésaventure. Dans une somptueuse villa où elle devait séjourner pendant plusieurs jours, la chanteuse a été victime de phénomènes étranges.
La mésaventure de Céline Dion dans une maison belge
Il y a quelques années, Céline Dion a séjourné dans une résidence à proximité de la maison de Philippe Geluck. Malheureusement, son séjour a été marqué par des phénomènes paranormaux.
Comme l’a raconté le dessinateur lors de son interview dans L’essentiel chez Labro, la chanteuse a ressenti des mauvaises ondes dans cette propriété pourtant décrite comme somptueuse.
Ainsi, elle aurait très mal vécu cette période. “Elle fermait une porte à clé à double tour, le lendemain, la porte était ouverte, et on ne savait pas comment. Il y avait des lumières qui s'allumaient, qui s'éteignaient, le volet de la piscine qui s'ouvrait et qui se refermait”, a raconté l’artiste.
À l’époque, Céline Dion devait répéter pour un spectacle à Las Vegas. Ainsi, son metteur en scène belge lui a demandé de se rendre au sud de Bruxelles. “Il a demandé à ce qu'elle vienne répéter dans sa ville natale qui n'était pas loin de chez moi”, a raconté Philippe Geluck.
Des recherches ont été menées pour expliquer les phénomènes
Céline Dion avait prévu de rester trois mois dans cette résidence. Finalement, elle n’a tenu que dix jours.
Après cette mésaventure, une enquête a eu lieu dans la région. Cela a permis de déterminer les sombres origines de la villa. “On a un petit peu enquêté dans la région. Et en fait on s'est rendu compte que cette maison avait été bâtie sur les ruines d'un ancien monastère dans lequel des moines devenus fous terminaient leur vie. Certains s'étaient suicidés, et donc elle a ressenti ces très mauvaises ondes”, a confié le septuagénaire.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. En racontant la mésaventure de Céline Dion, le dessinateur découvre une coïncidence troublante. “J'écris ce texte avec le metteur en page, on fait le compte du nombre de signes que contient le texte... 1488. C'est le code postal du village où nous habitions”, a-t-il confié.
Un récit digne d’un film d’horreur.