Ce 7 juillet 2020 s’ouvre le procès opposant Johnny Depp et le quotidien anglais The Sun. L’acteur a porté plainte contre le média pour diffamation. Il affirmé que celui-ci l’a accusé de violences conjugales à tort et sans aucune preuve.
En 2017, alors en pleine rupture avec Amber Heard, Johnny Depp a vu sa réputation entachée suite aux propos tenus par son ex. L’actrice affirmait avoir été victime des coups de Johnny Depp. Elle parlait alors d’années de « violences physiques et psychologiques ».
Johnny Depp a décidé de porter plainte contre The Sun et son propriétaire News Group Newspapers (NGN) pour une raison simple. Suite aux confidences d’Amber Heard, le quotidien a rédigé un article en avril 2018. Dans celui-ci, pas de place au doute, Johnny Depp y était présenté comme dépeint par Amber Heard. Ainsi, le quotidien déclarait qu’il avait bien frappé son ex-femme.
Un procès qui s’ouvre ce 7 juillet 2020
C’est à la Haute Cour de Londres que le procès, qui devrait durer deux semaines, s’est ouvert ce mardi 7 juillet 2020. Vanessa Paradis et Winona Ryder, deux ex de l’acteur, devraient prendre la parole pour défendre ce dernier.
Vanessa Paradis, avec qui il a eu Lily-Rose Melody et Jack John Christopher III, a raconté dans son témoignage écrit que son ex était « un homme et un père gentil, attentif, généreux et non-violent. » Winona Ryder a, de son côté, affirmé qu’il n’a jamais été violent envers elle.
The Sun semble cependant bien décidé à se défendre coûte que coûte. Le tabloïd déclare avoir pris pour preuve 14 accusations de violences contre Johnny Depp de 2013 à mai 2016. Le magazine a tenu à rappeler que l’acteur avait également refusé de dévoiler une série de SMS demandée par la Cour.
Dans ceux-ci, Johnny Depp aurait demandé de la drogue à son assistant. Quel est le rapport avec l’affaire de violences ? Eh bien à la suite de ces messages envoyés à la fin du mois de février, Amber Heard avait expliqué avoir vécu « un supplice de trois jours d’agressions physiques ».
Affaire à suivre…