Ce jeudi 10 septembre, Nafissatou Diallo fait la une de Paris Match. La femme de chambre, qui avait accusé Dominique Strauss Kahn d'agression sexuelle en 2011, a confié à l'hebdomadaire à quel point cet événement a perturbé sa vie. L'occasion pour l'équipe de Touche pas à mon Poste de revenir sur l'affaire du Sofitel. Amusé, Jean-Michel Maire n'a pas hésité à faire quelques confidences inédites.
"J'ai participé à une partie où DSK était là"
Ce mercredi 9 septembre, sur C8, le chroniqueur a révélé avoir passé plusieurs soirées aux côtés de DSK avant que le scandale n'éclate. Jean-Michel Maire précise que l'homme politique avait alors "de grandes chances d'être élu", mais qu'il préférait mener sa vie comme il l'entend :
À partir du moment où il aurait été élu, il n’aurait pas pu continuer à mener la vie qu’il adorait.
Explique le journaliste avant de continuer :
J’en ai été témoin de sa vie puisque j’ai participé à une partie où DSK était là. Une partie fine, une partie fine où DSK était là.
Précise-t-il devant ses collègues ahuris.
"Toutes les femmes voulaient être proches de lui"
Jean-Michel Maire avoue ensuite que l'ex-époux d'Anne Sinclair avait un succès fou auprès de la gent féminine :
Toutes les femmes voulaient être proches de lui parce qu'il avait une aura, un pouvoir qui fait que toutes les femmes s'approchaient de lui.
Confie celui qui a cédé à la chirurgie esthétique.
Le Nancéen ajoute que l'une de ces parties fines a eu lieu alors que l'ancien patron du FMI convoitait la présidence de la République. La "fête"s'était alors déroulée sur une péniche afin de semer les paparazzis.
DSK et le libertinage
Impliqué dans l'affaire du Carlton en 2012, Dominique Strauss Kahn s'est toujours défendu d'avoir eu recours à des prostituées. Trois ans plus tard, à la barre, l'homme politique a clamé haut et fort qu'il ignorait tout de l'activité professionnelle de certaines femmes présentes lors de ces soirées.
L'ancien ministre de l'Economie et des Finances a toutefois reconnu son goût pour les soirées libertines qu'il qualifiait à l'époque de"petites soupapes de récréation" dans une vie "trépidante".