L’affaire fait actuellement couler beaucoup d’encre. Slimane est visé par deux plaintes : la première pour harcèlement sexuel, la deuxième pour “agression sexuelle et tentative d’agression sexuelle”. Deux affaires sur lesquelles nos confrères de BFM TV sont revenus dans leur podcast Le titre à la Une, comme l’a repéré le magazine Closer.

"Une rumeur affirme..."

Ainsi, le journaliste du Parisien, Benoît Daragon, était invité pour évoquer cette affaire très médiatisée. Lorsqu’il parle de la première plainte déposée contre Slimane, le journaliste précise :

Il est écrit dans Le Parisien le 30 octobre : ‘Le doute s’installe, une rumeur affirme que le silence du plaignant a été acheté.’

Une phrase qui en dit long, comme l’explique Benoît Daragon : “Cela veut dire qu’on nous fait comprendre qu’à un moment donné, quelqu’un dans l’entourage de Slimane a suggéré qu’on ne retrouvera pas cette plainte, car un accord a été conclu. Ça se fait parfois aux États-Unis : on fait un chèque à la victime qui a porté plainte et qui accepte surtout de ne jamais en parler.”

Il précise :

Et donc on nous fait comprendre qu’un accord a été signé, ce qui implique qu’on ne trouvera rien.

"C'est totalement faux"

Mais qu’en est-il vraiment ? Le premier plaignant a-t-il été payé pour garder le silence ? Benoît Daragon assure que la victime présumée a été “très heurtée d’apprendre cette rumeur, car c’est totalement faux”. “Il n’y a jamais eu d’accord signé entre la victime potentielle et Slimane”, insiste le journaliste.

Depuis, le chanteur a été visé par une deuxième plainte. Face à la polémique, Slimane a préféré, pour le moment, se murer dans le silence. Deux enquêtes préliminaires ont été ouvertes à la suite de ces plaintes.