Stéphane Plaza est dans la tourmente. Dans une récente enquête publiée par Mediapart, trois prétendues anciennes compagnes de l’agent immobilier l’ont accusé de violences verbales, physiques et psychologiques.

Alors que les avocats de l’animateur ont qualifié ces accusations de “diffamatoires et injurieuses", le magazine Paris Match s’est penché à son tour sur cette affaire. Ainsi, l’hebdomadaire, dont le nouveau numéro est en vente depuis ce jeudi 26 octobre 2023, est allé à la rencontre de certains proches de l’animateur, dont une femme qui est présentée comme "sa compagne depuis dix ans".

"Il n'est pas violent"

Une relation méconnue de tous et dont Karine Le Marchand, qui est pourtant l’une des meilleures amies de Stéphane Plaza, n’a jamais entendu parler. Cette prétendue compagne est toutefois sortie du silence afin de prendre la défense du célèbre agent immobilier.

Ainsi, elle a confié à nos confrères de Paris Match :

J'apporte tout mon soutien à Stéphane, il n'est pas violent et ne l'a jamais été.

Un soutien auquel s’ajoute également celui de Karine Le Marchand, qui a quant à elle notamment confié :

L’une de ses maîtresses a fouillé dans son téléphone alors qu’ils étaient en week-end à Vienne et a contacté les autres femmes. Elles se sont mises ensemble, l’ont agoni d’injures. Et elles avaient raison, c’est mal ce qu’il a fait. Ensuite, chaque fois qu’il s’affichait avec une fille sur les réseaux sociaux, elles lui envoyaient des messages de haine.

Le résultat de l'enquête interne de M6 dévoilé

Alors que l’affaire est désormais entre les mains de la justice, M6 révélait récemment qu’une enquête interne a été menée au sein du groupe. Une enquête dont nos confrères de Paris Match en dévoilent les conclusions. Ainsi, ils ont pu lire sur les papiers concernés :

Sur toutes les émissions radio, télé, et publicités tournées ou enregistrées chez le groupe M6, l'enquête interne ne relève aucun acte s'apparentant de près ou de loin à de la violence morale ou physique, aucun harcèlement de quelque nature que ce soit, pas de propos sexistes ou actes pouvant y être assimilés.

A la justice désormais de trancher sur toute cette affaire…