L'été dernier, Al Pacino a navigué vers un horizon nouveau, celui de la paternité inattendue. À 83 ans, ce géant du cinéma s'est retrouvé face à une nouvelle réalité lorsque Noor Alfallah, sa compagne de longue date et de plusieurs décennies sa cadette, a annoncé sa grossesse.
Une grossesse surprise
La surprise a été de taille, menant l'acteur à solliciter un test de paternité. Les résultats ont confirmé l'inespéré : Pacino allait être père à nouveau, une étincelle de vie venant illuminer les années avancées de sa remarquable existence.
Mais l'icône du film "Le Parrain" est désormais confronté aux réalités financières post-séparation. Un juge de Los Angeles a fixé les termes du soutien financier, et les chiffres sont considérables.
Un Fond d'Éducation pour le Petit Roman
D'après les informations de Page Six, le jugement requiert de Pacino un paiement initial de 110 000 dollars, suivi de versements mensuels de 30 000 dollars (environ 28 000 euros), un montant qui représente un engagement financier non négligeable, même pour une star de son envergure. En outre, le juge a stipulé que Al Pacino devra également financer une nounou de nuit à hauteur de 13 000 dollars et couvrir tous les frais médicaux de son enfant.
L'avenir éducatif de Roman n'a pas été laissé au hasard. Dans la foulée des arrangements financiers, Al Pacino doit également alimenter un fonds éducatif. Chaque année, 15 000 dollars seront versés sur un compte dédié, sur lequel Roman pourra se reposer pour ses frais d'études ultérieurs. Ce geste, bien que requis par la justice, témoigne de la prévoyance pour l'éducation de son fils et assure une certaine tranquillité d'esprit quant à son avenir académique.
La séparation de Pacino et Noor Alfallah a été marquée par la volonté de maintenir une relation civile pour le bien-être de leur enfant. Malgré la différence d'âge significative et les défis que cela pourrait impliquer, Noor Alfallah a demandé la garde de leur fils tout en accordant au comédien un droit de visite et un mot à dire sur les décisions importantes concernant le bien-être de l'enfant.
L'acteur, déjà père de trois autres enfants issus de précédentes relations, s'est retrouvé une fois de plus sous les projecteurs, non pas pour ses performances artistiques, mais pour les obligations familiales qui accompagnent la fin de sa relation avec Noor Alfallah. Pour Al Pacino, le rôle de père engagé semble se poursuivre, avec les responsabilités financières qui en découlent, confirmant l'adage selon lequel la parentalité est un engagement qui va bien au-delà des premières années de vie.