Les premiers jours de Maéna, la neuvième enfant d'Alexandre et Amandine Pellissard, ont été marqués par des défis considérables. Incubée dans le service de réanimation, leur petite guerrière a dû lutter pour chaque petit souffle d'air. Fort heureusement, les équipes médicales ont été à ses côtés, offrant des soins intensifs et une attention sans faille.
Pour les parents, cette épreuve a été un véritable tourbillon émotionnel, les faisant naviguer à travers l'incertitude et la peur. Une situation qui devenait presque insupportable lorsque les réponses médicales se faisaient attendre.
Maintenant, Alexandre et Amandine Pellissard voient enfin la lumière au bout du tunnel. Selon les dernières informations, leur petite fille a gagné du poids et a continué à grandir. L'une des avancées les plus significatives est que Maéna peut désormais profiter de moments de "peau à peau" avec ses parents.
Amandine Pellissard : sa lutte contre la dépression post-partum
Amandine Pellissard, reconnue pour son franc-parler, a l’habitude de tout partager avec ses fans. Pourtant, la mère de famille a récemment choisi de faire preuve de retenue sur les réseaux sociaux. C’est notamment dans une interview avec Gossiproom qu’elle a décidé d’expliquer les raisons derrière ses moments de silence. La jeune maman révèle avoir fait face à une dépression post-partum en parallèle du combat de sa fille pour survivre.
Pour reprendre ses mots :
Je suis devenue un zombie. Je suis devenue l'ombre de moi-même. C'était le matin, je ne voulais même pas me lever. J'avais une boule au ventre, juste à l'idée d'affronter ma journée. Je ne parlais plus, j'étais livide, transparente.
Un véritable changement
À la maison, le compagnon d'Amandine Pellissard a assisté à un véritable changement de sa partenaire. Apparemment, peu à peu, la maman aurait perdu le goût pour les aspects essentiels de la vie. Elle raconte :
J'étais éteinte, je n'étais plus moi du tout, mais plus du tout. Je pleurais tout le temps, je ne dormais plus, je ne mangeais plus.
Pire encore, elle admet avoir refusé pendant un certain temps de prendre des nouvelles de sa fille au service de réanimation, confiant :
J'avais peur d'appeler la réa, parce que je ne voulais pas entendre les bips derrière. Je ne voulais pas qu'on me dise un truc que je ne voulais pas entendre.
À chaque sonnerie du téléphone, celle qui a été persécutée par sa banque se mettait à faire “de la tachycardie." Mais si la dépression post-partum s'est emparée d'Amandine Pellissard, au fur et à mesure que l’état de sa fille s'est améliorée, elle a également commencé à se remettre. Entre-temps, elle a toujours pu compter sur son époux pendant cette période difficile.