Tout le monde a suivi l'affaire Ary Abittan. Ce dernier a été mis en examen pour viol et placé sous contrôle judiciaire. Cependant, l'acteur ne pourra pas répondre aux questions des journalistes au sujet de cette accusation. En effet, selon les informations de Closer, l'accusé ne pourra pas non plus faire la promotion de ses derniers films avec ses collègues...

Ary Abittan écarté du cinéma...

Le comédien est sous contrôle judiciaire depuis le 2 novembre dernier. La promotion de la suite du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ? devait commencer, mais cela risque d'être remis à plus tard. En effet, Ary Abittan fait partie des personnes qui sont en tête d'affiche du long-métrage produit par Philippe de Chauveron.

La promotion du film, qui doit sortir le 2 février, devrait quand même se faire, mais sans lui. Après une réunion de crise, les équipes auraient décidé de continuer le planning et le programme de promotion comme prévu, mais sans l'acteur. C'est une lourde décision prise par le distributeur UGC.

Le comédien se confine...

Mais ce n'était pas le seul film où Ary Abittan doit apparaître. En effet, il y avait aussi L'Amour c'est mieux que la vie et Ducobu président !. Une tournée était également prévue sur toute la France pour son one man show Pour de vrai, et comme le reste, tout est annulé. Selon Le Figaro, les trois premières dates de décembre sont définitivement supprimées.

Que risque l'accusé ?

Depuis que cette affaire a éclaté au grand jour, Ary Abittan s'est muré dans le silence. Ce dernier reste "confiné" avec sa famille proche, d'après Guillaume Genton. Le comédien cherche une stratégie pour se sortir de cette histoire sombre. Le chroniqueur de TPMP a pu interroger "longuement" l'avocat de la victime présumée, Arash Derambarsh. L'homme de loi lui a confié :

Cette affaire ne serait pas uniquement une affaire de viol, mais également une affaire de violences.

Ary Abittan aurait répété des actes d'une "violence inouïe" et de "blessures constatées par l'unité médico-judiciaire". L'acteur risquerait jusqu'à quinze ans d'emprisonnement.