La Ferme célébrités, The Winner Is, Tahiti QuestBenjamin Castaldi était aux commandes de plusieurs programmes qui avaient fait sensation auprès du public. À ses débuts, il avait pu compter sur le soutien de Michel Drucker qui lui avait donné sa chance. Dès lors, il avait commencé son ascension. C’est en 2001 que l’animateur avait vu sa carrière décoller grâce à l'émission de télé-réalité, Loft Story (M6).  

Il est évident que le célèbre présentateur a enchaîné les succès. Toutefois, il a aussi fait face à des déconvenues. Aux États-Unis, il n’a pas réussi à percer, et ce, malgré ses efforts. Comme à son habitude, il s’est confié sans langue de bois sur sa carrière ratée au pays de l’Oncle Sam sur le plateau de TPMP.

"Je n'en ai vendu aucun"

C’est un fait, les chroniqueurs de Cyril Hanouna se prêtent régulièrement au jeu des révélations dans le talk-show de C8. Certains excellent d’ailleurs dans ce domaine. C’est notamment le cas de Benjamin Castaldi. Jamais avare en confidences, l’homme de 53 ans n’hésite pas à évoquer sa vie sentimentale et sa gloire passée sur le plateau de TPMP. Il lui arrive également de parler de ses galères financières.

Le 15 mai dernier, celui qui s’est écharpé avec Gilles Verdez a décidé de revenir sur ses expériences professionnelles qui se sont toutes soldées par des échecs aux États-Unis. Selon ses propos, il essayait de vendre un jeu télévisé baptisé "What have you got" à une chaîne américaine. Malheureusement pour lui, cela ne s’était pas fait. Loin de se décourager, il retentait sa chance, en vain.

Ça n'a rien donné. J’ai écrit un autre jeu, qui ne s’est pas vendu non plus (…) Je n'en ai vendu aucun. J’ai fait des levées de fonds et des levées de faillite surtout.

Benjamin Castaldi, un chroniqueur emblématique de TPMP

Malgré ses échecs cuisants aux États-Unis, celui qui a répondu sèchement à un candidat de télé-réalité a retrouvé une certaine stabilité financière. Depuis 2016, il est en effet devenu l’une des figures incontournables de l’émission de TPMP. Cette carrière ratée de l’autre côté de l’Atlantique n’est désormais qu’un lointain souvenir.