C’est ce vendredi 5 janvier 2024 que France 2 va donner le coup d’envoi de son tout nouveau programme. Une émission baptisée Bertrand n’a pas sommeil et qui sera diffusée à partir de 22h45. Aux commandes, on pourra retrouver Bertrand Chameroy.
Une nouvelle émission
A quelques heures du coup d’envoi de cette nouvelle émission, le chroniqueur de C à Vous enchaîne les interviews. Dans les colonnes de nos confrères de chez SudOuest, il en a dit un peu plus sur le concept de cette nouvelle émission :
L'idée, c'est que j'ai terminé ma semaine à C à vous, je rentre chez moi, dans 'mon' appartement qui ressemble à un plateau de sitcom, façon Friends. Il y a du public, je reçois quatre amis comédiens, humoristes, et on fait tous ensemble ce qu'on ferait un vendredi soir si on n'avait pas envie de dormir (…) L'émission se veut détendue, festive.
L’ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste s’est également confié à nos confrères du Figaro. Ainsi, Bertrand Chameroy a fait une mise au point sur cette émission qu’il a conçu notamment aux côtés des équipes de C à vous :
Ce n'est pas un talk-show et encore moins un late show. Sur France 2, il y a déjà Léa Salamé le samedi soir avec ''Quelle époque !'', nous voulions nous en démarquer. Quant au late show, on ne sait pas faire en France, à part Alain Chabat.
"Ce genre de choses..."
S’il évoque sans langue de bois sa nouvelle émission, le chroniqueur précise :
Dans les interviews, je suis toujours plus à l'aise pour parler de mon travail que de ma vie.
Cependant, comme l’ont repéré nos confrères de chez Closer, Bertrand Chameroy a accepté de se confier, pour la première fois, sur les rumeurs dont il fait l'objet avec sa complice, Anne-Elisabeth Lemoine. Des rumeurs qui ont récemment été relancées avec des clichés parus dans un célèbre magazine, où ils apparaissaient particulièrement proches.
De quoi agacer le chroniqueur, qui explique que ce “sujet le met en colère”.
Et de critiquer les paparazzades dont il fait l’objet :
Autant les selfies et les autographes, je les fais avec plaisir, autant ce genre de choses je ne comprends pas.
Le chroniqueur n’en dira pas plus. Le message est passé !