La DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) poursuit sur sa lancée. Cette administration relevant du ministère de l'Économie a en effet intensifié ses contrôles depuis plusieurs mois. Il faut dire que les sanctions n’arrêtent pas de tomber et Booba y est sans doute pour quelque chose.

Certes, les enquêtes concernant les influenceurs issus de la télé-réalité se multiplient. Toutefois, les services de la répression des fraudes s’intéressent aussi aux affaires d’autres stars des réseaux sociaux. C’est justement le cas de Léa Djadja, l’épouse de Black M.

Léa Djadja, la femme Black M, épinglée par la répression des fraudes

Rym Renom, Amandine Pellissard ou encore Simon Castaldi, bon nombre d’influenceurs se sont retrouvés dans le viseur de la DGCCRF. Celle-ci entend bien appliquer la loi visant à encadrer leurs activités. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’organisme multiplie les contrôles. Ainsi, les injonctions pleuvent, mais il faut croire qu’elles ne sont pas toujours respectées.

Léna Guillou, qui a été déjà été accusée de "pratiques commerciales trompeuses", se retrouve, une fois encore, face au gendarme de la consommation. Léa Djadja a aussi été épinglée par la DGCCRF pour la même raison. Celle-ci reproche à la femme de Black M de ne pas afficher clairement les publications promotionnelles pour ses partenaires. Une pratique qui est devenue monnaie courante du côté des influenceurs.

Booba jubile

Avec le caractère qu’on lui connaît, l’ennemi de Dylan Thiry n’a pas manqué l’occasion de tacler la femme de l’un de ses éternels rivaux, les anciens membres de la Sexion d’Assaut. D’autant plus que le Duc de Boulogne s’est donné pour mission de mettre un terme aux pratiques trompeuses de ceux qu'il surnomme les "influvoleurs". Cette nouvelle injonction ne peut donc que le réjouir.

Reste à découvrir si Léa Djadja va réagir à cette affaire. Voilà une polémique dont elle se serait bien passée.