Les réseaux sociaux peuvent s'avérer nocifs pour la santé mentale, quand ils ne sont pas parfois à l'origine de drames. Les commentaires méchants et le harcèlement en ligne, sous couvert d'anonymat, obligent de nombreux internautes à se couper des réseaux. D'autres, certainement bien plus sensibles, ont hélas choisi de mettre fin à leur jours, las d'avoir à lire les critiques désobligeantes et de devoir se défendre quotidiennement.
Malgré ou à cause de leur statut, les célébrités ne sont pas épargnées. Elles ont été nombreuses à désactiver leur compte Twitter, à l'image de Laurence Boccolini ou encore Issa Doumbia. Toutes ont dénoncé le harcèlement de certains twittos mais également le laxisme de la plateforme. C'est récemment le cas de Kelly Vedovelli, qui a annoncé avoir quitté le réseau social à l'oiseau bleu.
Kelly Vedovelli part sans regrets !
Inscrite sur Twitter depuis 2017, c'est pourtant sans regrets et visiblement soulagée que Kelly Vedovelli a annoncé quitter le célèbre réseau social. Très populaire depuis qu'elle est devenue chroniqueuse dans Touche Pas à Mon Poste, la sulfureuse blonde ne reçoit hélas pas que des messages bienveillants et est fatiguée de toute cette méchanceté gratuite.
C'est donc sur Instagram qu'elle annonçait le 4 septembre dernier qu'elle cesserait définitivement d'alimenter son compte Twitter, "un rassemblement de lâches", selon la jeune femme :
J'ai changé de téléphone et plus du tout accès à mon compte Twitter. C'est pas plus mal, je quitte un rassemblement de fils de lâches. Allez, salut les nazes !
Vous l'aurez compris, vous n'êtes pas près de revoir Kelly Vedovelli tweeter de sitôt. Mais que ses fans se rassurent. La chroniqueuse de Touche Pas à Mon Poste les invite tous à la rejoindre sur un autre réseau tout aussi populaire :
Pour les amours qui me suivent là-bas, welcome to my Instagram (bienvenue sur mon Instagram).
Un réseau critiqué
Twitter a plusieurs fois été accusé de ne pas assez lutter contre le cyber-harcèlement, dont est victime un grand nombre de ses usagers. Aussi, cette année, les dirigeants du site ont déclaré vouloir mettre en place des mesures pour limiter les dérives.
Depuis cet été, il est désormais possible pour le tweetos de choisir qui peut répondre à son tweet, à défaut d'être obligé de passer son compte en privé. Certaines réponses peuvent également être masquées mais reste néanmoins accessibles si le compte est public.
Malgré ces initiatives, certains inscrits ont reproché au réseau américain, qui se veut désormais intransigeant, de suspendre des comptes de manière aléatoire, qui n'avaient rien de problématique, alors que d'autres bien plus douteux continuaient d'être hébergés. Le signalement en masse (lorsqu'un tweetos encourage tous ses abonnés à signaler un compte) a valu à de nombreux usagers d'être bannis du réseau, qui en outre ne leur facilite rien pour récupérer leur compte.